Chloé et ses copines

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il y a 4 ans

Les femmes peuvent être plus coquines que les hommes

C’était un soir, au début du printemps, un de ces soirs où le soleil couchant fait déjà penser à l’été qui approche. A volant de ma voiture, je revenais chez moi après avoir passé l’après-midi chez des amis.

A mi parcours, mon attention fut captée par une fille qui faisait du stop au bord de la route. Je fus immédiatement hypnotisé par sa tenue. Un chemisier blanc, une mini-jupe écossaise, des collants noirs opaques et des ballerines noires. Je ne pus résister à l’envie de m’arrêter en espérant pouvoir la conduire quelque part. Arrivé à sa hauteur, elle me décocha un magnifique sourire...

  • Bonjour, je vais à Bruxelles… Est-ce que tu peux m’avancer un peu ?

Je ne sais pas si c’est le fait qu’elle m’ait directement tutoyé ou simplement la beauté pure de son visage d’ange, mais je dus lutter pour garder ma contenance en lui marmonnant un « Bien sûr, monte ! »

Lorsqu’elle ouvrit la portière pour s’asseoir à côté de moi, je ne perdis pas une once du spectacle qu’elle m’offrait. J’étais obnubilé par ses jambes magnifiques, d’un noir éclatant. Elle me fit un petit sourire pour me faire comprendre qu’elle m’avait surpris en train de regarder ses jambes… Tout en démarrant, je fis diversion en lui expliquant que c’est dangereux pour une jeune fille de faire du stop, ce à quoi elle me répondit que c’était tout à fait exceptionnel et dû à un concours de circonstances.

  • Je dois rentrer au campus universitaire, me dit-elle, car c’est l’anniversaire d’une de mes colocataires et qu’on a prévu de fêter ça ce soir. Et vu que je suis très en retard, pas le temps d’attendre un bus… Heureusement tu es passé par ici !

  • Eh bien je suis ravi de pouvoir te rendre service ! Tu es étudiante donc ?

  • Oui, je suis en dernière année de psycho.

  • Ah, bientôt fini alors !

  • Oui, enfin il me reste le mémoire à faire pour la fin de cette année…

Elle était donc à peine plus jeune que moi. Tout en discutant de tout et de rien, je ne pouvais m’empêcher de jeter quelques coups d’œil furtifs à ses jambes. Je pensais être discret mais…

  • Dis-donc, tu ne serais pas en train de mater mes jambes, toi par hasard ?

Je restai interdit par cette remarque aussi familière qu’inattendue. Je rougis.

  • Oh excuse-moi… Il faut bien avouer que le spectacle est très joli, dis-je sur le ton de l’humour.

  • Ha ha c’est un compliment ça, merci !

  • Ceci dit, tu le cherches un peu aussi hein ! En t’habillant comme ça, tu dois en attirer des regards… Et pas que le mien !

  • Oui, c’est vrai que les mecs me regardent souvent. Je ne vais pas m’en plaindre, c’est plutôt flatteur ! Et puis j’ai toujours adoré mettre des jupes assez courtes. Mais jamais vulgaires.

  • Effectivement le moins qu’on puisse dire c’est que ça te met bien en valeur.

  • Bah on met en avant ce qu’on a de mieux hein… Chez moi ce sont les jambes je pense. J’aime bien mes jambes.

  • Moi aussi... Je les trouve très jolies en noir comme ça.

  • Ca me fait une belle jambe ! dit-elle en riant. Non mais c’est vrai que j’aime bien ces collants noirs, et en plus ils sont très agréables à porter. C’est ceux que je mets le plus souvent, dit-elle en passant la main sur sa cuisse. C’est marrant, j’ai un peu l’impression de discuter chiffons avec une copine !

  • Ca ne me dérange pas du tout de discuter chiffons, d’autant plus que c’est un de mes péchés mignons…

  • Les chiffons ?

  • La lingerie !

  • Aaah un homme qui aime la lingerie !

  • Ben tous les hommes aiment la lingerie, non ?

  • Oh non malheureusement… Moi j’adore ça aussi, mais je ne suis jamais tombée sur un homme aussi passionné que moi !

  • Tadaaaam ! Me voilà !

  • Ha ha ! Et qu’est ce qui te passionne autant dans la lingerie ?

  • Le fait que ça sublime le corps de la femme. Ca le met en valeur. Ce jeu de transparences, de voiles, de dentelle, montrer sans trop montrer… C’est très érotique.

  • Eh ben dis-donc...

  • Quoi ? C’est parce que j’ai dit « érotique » ?

  • Non non, c’est exactement ce que je pense aussi ! C’est notamment pour ça que j’adore porter des bas et des collants. Ces jeux de transparences…

  • C’est drôle que tu dises ça, parce que j’ai moi-même un sacré penchant pour les bas et les collants.

La conversation dérapait. C’était la première fois que je parlais de ça avec quelqu’un. Jamais avant je n’avais osé aborder le sujet avec mes ex-copines, par peur du ridicule. Et là j’étais en train de me confier à cette jolie inconnue…

  • Ah tu es fétichiste ? me demanda-t-elle directement.

  • Hmmm j’en ai bien l’impression oui…

  • Tu rigoles ? C’est le sujet de mon mémoire en sexo !

Je tressaillis.

  • Ah d’accord ! Je suis donc un cas d’étude pour toi alors ?

  • Ben c’est vrai que ça m’intéresserait d’avoir ton opinion, puisque tu es directement concerné…

Chapitre II :

Elle avait une telle assurance dans ses propos, dans son allure… Cette fille m’impressionnait. Mes sens s’affolaient, je perdais le contrôle de moi-même, mais il fallait à tout prix que je le cache.

  • Ha ha, pas de problème, je répondrai à toutes tes questions alors ! fis-je d’un ton faussement assuré.

  • Merci ! Au fait, moi c’est Sarah. Et toi ?

  • Enchanté Sarah, moi c’est Damien.

  • Ok Damien, on va rester en contact. Tu vas m’aider, d’accord ?

  • Avec plaisir. Qu’est-ce que je peux faire pour t’aider ?

  • Héhé tu as déjà commencé à m’aider sans le savoir…

  • Ah ?

  • Depuis tout à l’heure tu regardes mes jambes.

  • Oui c’est vrai, j’ai un peu honte mais j’avoue… Mais en quoi ça t’aide ?

  • Oh, je peux déjà en déduire plein de choses tu sais. Tu veux que je te dise ce que je sais déjà sur toi ?

  • Houlà tu me fais peur… Mais vas-y, dis-moi ce que tu sais alors !

  • Tout d’abord, que c’est une envie irrépressible. Tu ne peux pas t’en empêcher de mater mes gambettes, hein ?

  • Euh… C’est vrai…

  • Deuxième conclusion : ça me donne un certain pouvoir sur toi. Et je parie que ça te plaît, ça. Je me trompe ?

Je me liquéfiai sur place.

  • Waow. Que dire... Pour être honnête, non effectivement tu ne te trompes pas du tout.

  • Et je vais même te dire autre chose… Tu as très envie que je retire mes chaussures. Juste pour pouvoir apercevoir mes pieds. Hein oui ?

  • Gloups… Tu me fais la totale là ? Je suis complètement démasqué… Mais comment tu as deviné tout ça ?

  • C’est le sujet de mon mémoire… Je suis bien renseignée sur le fétichisme tu sais !

  • Je me sens un peu con là…

Et c’était peu dire. Je me sentais comme nu au milieu d’une foule. En quelques minutes, la belle Sarah m’avait parfaitement cerné et prenait plaisir à m’énumérer mes fantasmes les plus secrets avec son petit sourire coquin.

  • Ne t’inquiète pas, me dit-elle d’un ton soudainement rassurant. Les fétichistes sont très souvent des hommes charmants et sensibles. Je ne te connais pas, mais tu as l’air de correspondre au profil.

  • Ca c’est gentil.

  • Dis… Tu vas me prendre pour une folle, mais je viens d’avoir une idée…Avant que je te dise ce que c’est, est-ce que tu as quelque chose de prévu là, maintenant ?

  • Euh… Non pourquoi ?

  • C’est en rapport avec l’anniversaire de Julie, ma coloc’… Bon je t’explique. J’habite dans un petit appart avec deux filles de ma classe, et comme je te l’ai dit, aujourd’hui c’est l’anniversaire de Julie. On a prévu une petite bouffe surprise entre filles… Et maintenant que j’ai fait ta connaissance, je me dis que ça pourrait être sympa de te les présenter.

  • Euh… Oui, mais elles ne me connaissent pas et moi non plus !

  • Ben vous ferez connaissance ! Bon, pour être honnête, disons qu’elles sont au courant du sujet de mon mémoire et que je voudrais te les présenter par rapport à ça. Tu pourrais être la surprise de Julie !

  • Moi une surprise ? Mais quel genre de surprise ?

  • Ah ça, tu verras. C’est une surprise pour toi aussi. Tout ce que je peux te dire, c’est que tu devrais vraiment accepter… Tu ne le regretterais pas.

  • Houlà, c’est très mystérieux tout ça !

  • Oui je sais, mais je ne t’en dirai pas plus. Dis-moi que tu viens…

  • Ah, même pas le temps de réfléchir donc !

  • Non ! Pas le temps de réfléchir, elles m’attendent déjà. Viens, tu verras, on va passer une super soirée.

  • Bon… Tu ne me laisses pas vraiment le choix on dirait…

  • Héhé non effectivement ! C’est génial que tu acceptes.

J’avais l’impression d’être sur une autre planète. Je venais d’accepter une invitation de la fille la plus troublante que j’aie jamais rencontré, et je ne savais absolument pas à quoi m’attendre.

Arrivés sur le parking du campus universitaire, j’eus encore droit à quelques sourires satisfaits de ma belle auto-stoppeuse. Elle semblait manifestement ravie que je participe à leur petite fête. Quant à moi, d’un naturel très timide, j’étais dans un état de nervosité tel que je subissais les événements sans aucun contrôle. Je décidai donc de lâcher prise et de me détendre pour passer une bonne soirée. Après tout, c’est ce qu’elle m’avait promis.

Arrivés devant la porte de l’appartement, Sarah me demanda d’attendre deux petites secondes dans le couloir, le temps qu’elle vérifie que Julie et Chloé – la troisième coloc’ – étaient bien là. Elle entra donc d’un pas décidé, tout en chantant un « joyeux anniversaire » énergique et tonitruant. J’entendis quelques éclats de rire et quelques mots, mais pas moyen d’entendre distinctement ce qu’elles se disaient à travers la porte.

A peine quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit et Sarah vint me chercher.

  • Les filles, voici ma surprise !

Assises dans un canapé, deux filles magnifiques me fixaient avec des yeux tout ronds alors que je faisais mon entrée dans la pièce. Sans leur laisser le temps de manifester leur étonnement, Sarah enchaîna :

  • Je vous présente Damien. Damien, je te présente Chloé et voici Julie, qui fête ses 25 ans aujourd’hui.

  • Bonsoir et bon anniversaire ! fis-je d’un air probablement très bête.

  • Damien a une petite particularité que je ne vous révélerai pas, mais que vous allez devoir deviner.

C’était donc vrai. Sarah allait utiliser ce qu’elle savait de moi comme un jeu. Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir leur dévoiler ? Je n’osais y penser.

Chapitre III :

J'eus le temps de scruter mes hôtes l’espace de quelques secondes. Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’elles aussi, toutes les deux, portaient une jupe et des bas noirs. Mais elles ne portaient pas de chaussures. Manifestement, les trois copines s’étaient mises d’accord sur une tenue, probablement en vue d’une sortie pour la soirée d’anniversaire.

Moi j’étais là, entouré de trois filles magnifiques, dans tous mes états, pétrifié, excité, nerveux à l’idée du petit jeu de Sarah, mais surtout je devais le cacher.

  • Alors comme ça, tu as une particularité ? me demanda Chloé.

  • Ca c’est Sarah qui le dit, répondis-je en riant.

  • Et qu’est-ce qu’on gagne si on trouve ce que c’est ? demanda Julie.

  • Vous verrez bien, répondit Sarah tout en me servant un verre. De toute façon je pense que vous trouverez assez vite.

  • Santé et bon anniversaire Julie, s’écria Chloé en levant son verre. Chacun fit de même.

  • Merci ! Je crois que j’ai déjà trouvé pour Damien, dit Julie.

Mon cœur se mit à battre comme s’il allait sortir de ma poitrine.

  • Ahaaa ! Vas-y, développe, lui dit Sarah.

  • Est-ce que cette caractéristique serait en rapport avec ton mémoire ? Parce que depuis qu’il est assis là, j’ai remarqué qu’il essaie de mater discrètement nos pieds…

  • Waow, impressionnant ! Tu as trouvé en moins de 3 minutes !

  • Un fétichiste alors ?

  • Un vrai. Nous avons un peu discuté avant de venir ici, et je sais déjà quelques trucs très intéressants sur lui, dit-elle en me regardant d’un air malicieux. Je sais par exemple qu’en ce moment, au beau milieu de nous trois, il doit être dans un état proche de la défaillance !

Eclat de rire général. Elles me regardèrent toutes les trois avec un air un peu supérieur. Je tentai de minimiser la chose.

  • C’était donc ça ! Tu aimes reluquer nos petits petons ! me fit Chloé.

  • J’avoue. C’est pas un mal quand même ?

  • Oh que non, me répondit Sarah.

  • Alors j’ai gagné quoi ? demanda Julie.

  • Tu as gagné Damien. Fais de lui ce que tu veux ce soir, il en sera ravi. Pas vrai Damien ?

Un frisson m’envahit.

  • Euh… C’est quoi ce plan ? fis-je d’un air incrédule.

  • Comment ça ? répondit Sarah. Tu ne vas pas refuser quand même ? Pas avec ce que je sais sur toi…

  • C’est à dire ?

Elle me regarda dans les yeux.

  • Ecoute... Je sais très bien dans quel état tu te trouves en ce moment. Tu es très excité à l’idée d’être dominé par trois filles… Alors ne te fais pas prier, obéis !

A ces mots, je restai bouche bée quelques secondes. Je ne savais pas quoi dire ni comment réagir.

  • Qui ne dit mot consent, dit Chloé. Il est d’accord.

  • Eh bien voilà, il est à toi Julie, répondit Sarah.

  • Cool, moi qui ai toujours rêvé d’avoir un mec à mes pieds ! dit-elle en riant.

  • Tu sais, je crois qu’on en rêve toutes ! renchérit Chloé.

  • Effectivement, lui répondit Sarah. Mais ce soir c’est l’anniversaire de Julie, donc c’est elle qui décide ! Alors Julie, que voudrais-tu faire de notre Damien ?

  • Eh bien, autant joindre l’utile à l’agréable. Je rêve d’un langoureux et sensuel massage des pieds, et comme monsieur semble aimer ça…

  • Allez Damien, au travail. Masse les pieds de la demoiselle ! me dit Sarah.

Je m’agenouillai devant les magnifiques pieds de Julie. Ils étaient parfaitement galbés dans du nylon noir totalement opaque. Je saisis son pied gauche et je commençai à y faire délicatement glisser mes doigts.

  • Tu as les pieds froids, lui dis-je.

  • Justement, je compte sur toi pour me les réchauffer, me dit-elle en se vautrant un peu plus dans le grand canapé.

  • Attends, je connais un moyen plus efficace pour réchauffer les pieds froids, dit Chloé sur un ton malicieux.

Elle s’approcha de moi, pris la jambe de Julie par la cheville et la remonta jusqu’à ce que son pied soit à hauteur de mon visage.

  • Ouvre la bouche bien grand, me dit-elle.

Je m’exécutai sans broncher. Et d’un coup, elle me poussa à l’arrière de la tête jusqu’à ce que les orteils de Julie soient totalement enfournés dans ma bouche.

  • Et maintenant, réchauffe-lui les pieds avec ta bouche. Quand celui-là sera bien chaud, tu t’occuperas de l’autre.

Je serrai donc mes lèvres autour du pied de Julie. A travers le nylon, je sentais ses orteils onduler sur ma langue. Ses pieds étaient très propres, seule l’odeur de ses collants neufs était perceptible. Et alors qu’elle semblait jusque là s’amuser de la situation, elle ferma les yeux et poussa un petit gémissement. Ca semblait vouloir dire qu’elle appréciait la sensation…

  • Voilà, c’est bien, c’est parfait, continue comme ça, me dit Chloé.

Les secondes s’écoulèrent. Chloé et Sarah me regardaient lécher les pieds de leur copine en se disant des choses à l’oreille. Elles semblaient préparer quelque chose. Je me sentais humilié et j’étais extrêmement excité. Je prenais soin de m’occuper des pieds de Julie avec douceur et délicatesse. Elle soupirait de plaisir de temps en temps. Je voulais que cet instant ne s’arrête jamais.

Chapitre IV :

  • Le pauvre, dit Sarah en riant, je me demande combien de temps il va pouvoir tenir comme ça. Il doit être sous pression comme pas possible !

Chloé pencha la tête.

  • Héééé mais tu as raison ! Il est vraiment sous pression ! dit-elle en voyant l’énorme bosse dans mon pantalon.

Elles éclatèrent de rire. Mon sexe était prêt à exploser dans mon jeans.

  • Dis-donc, ça t’excite de lécher ses pieds hein ? me demanda Chloé.

  • Hmmmff, marmonai-je avec le pied de Julie en bouche.

  • Je vois ça. Tu m’as l’air bien à l’étroit dans ton pantalon… On remédier à ça, tu seras plus à l’aise.

Je n’eus même pas le temps de tenter une réponse. Sarah était déjà en train de déboutonner mon jeans tandis que Chloé maintenait le pied de Julie dans ma bouche. Et d’un coup, elle me firent me relever et je sentis mon sexe se libérer de sa prison. Cette sensation de libération était divine. Mon pantalon était tombé à mes chevilles et mon pénis en érection se dressait fièrement devant les trois filles amusées. Instinctivement, je voulus placer mes mains devant pour cacher ce spectacle, mais je fus retenu par Chloé et Sarah qui m’attrapèrent par les bras.

  • Eh qu’est-ce que tu fais ? Non non, on veut tout voir nous !

Pendant que Chloé et Sarah m’immobilisaient les mains dans le dos, je sentis quelque chose de froid autour de mes poignets. Un léger cliquetis... C'étaient des menottes…

  • Ca, c’est pour s’assurer que tu ne feras pas de bêtises avec tes mains... Vu l’état dans lequel tu es, tu as sûrement envie de te soulager ! Mais ce n’est pas toi qui décideras de ça...

Elles avaient donc décidé de m'infliger la plus délicieuse, la plus agréable, la plus terrible des frustrations.

  • Regardez les filles, il est au garde à vous rien pour nous !

Eclat de rire général. Chloé s’approcha alors de moi, me fixa quelques instants dans les yeux et frôla doucement ma joue pour venir me chuchoter au creux de l’oreille.

  • Alors… Est-ce que tu t’es déjà retrouvé à poil devant trois filles ?

  • Euh… non, répondis-je embarrassé.

  • Et ça te fait quoi ?

  • Ben… Euh…

  • Ca t’excite !

  • Oui…

  • Tu n’as aucun contrôle hein… Même pas sur ton propre sexe… Tu ne peux pas te soulager… Tu es totalement dépendant de nous !

Avec les mains attachées dans le dos, je ne pouvais effectivement rien faire. Et à ce moment, Julie se redressa dans le divan, pour se placer juste face à mon sexe en érection.

  • Tu as bien réchauffé mes petits pieds… C’était très agréable ce que tu m’as fait. Maintenant c’est à moi de te chauffer un peu…

A ces mots, mon s a n g ne fit qu’un tour. J’eus du mal à avaler ma salive.

  • Un conseil… N’essaie pas de lutter. Regarde ta bite, elle est déjà trempée ! Le liquide séminal commence à couler. Tu voudrais la toucher, tu as tellement envie de te soulager… On dirait que tu n’en peux déjà plus mon pauvre Damien… Et pourtant on n’en a pas fini avec toi tu sais ! Hein les filles ?

  • Ca tu peux le dire, répondit Sarah. On va bien en profiter.

  • Oui… Les femelles dominent ce soir ! dit Chloé.

  • Je trouve que cette soirée commence bien, dit Julie en riant. Ca devrait être mon anniversaire plus souvent !

Nouvel éclat de rire.

  • D’ailleurs en parlant d’anniversaire, Chloé m’a offert hier un cadeau qui serait tout à fait approprié en ces circonstances... Je vais te montrer.

Chloé eut un air étonné.

  • Oh ! Tu ne vas tout de même pas… Si tu fais ce que je pense, ça c’est vraiment… cruel ! dit-elle.

  • Mmmh oui je suis d’une humeur délicieusement cruelle ce soir… Mais uniquement avec les hommes ! Tu veux bien aller chercher mon cadeau pour que je le montre à notre invité ?

  • Ok, j’arrive !

Chloé quitta la pièce, tandis Sarah enlevait ses chaussures. Elle me regardait en souriant, sachant parfaitement ce qu’elle faisait. Chacun de ses gestes était calculé, avec une précision qui n’avait d’égal que l’érotisme qu’elle dégageait. Pour la première fois je pus apercevoir ses pieds. Elle commença à les frotter l’un sur l’autre. Je bandais comme un fou. J’avais envie d’elle, de ses pieds magnifiques… Je voulais jouir. Impossible.

Chapitre V:

Après quelques secondes de ce petit jeu, tout en me regardant, elle passa ses mains sur ses jambes de bas en haut, très lentement, jusqu’à remonter sa jupe. Mais son collant était tellement opaque que je ne pouvais rien distinguer. Elle glissa alors ses mains sous l’élastique, de manière à le faire glisser vers le bas. A mesure que ses mains descendaient le collant le long de ses cuisses, sa jupe redescendait aussi, m’empêchant d’apercevoir quoique ce soit. Le noir du nylon fit progressivement place à la blancheur de ses cuisses, alors qu’elle finissait d’ôter son collant avec une délicatesse infinie.

Je ne pouvais décoller mon regard de ses pieds. Elle avait des orteils parfaits terminés par des ongles d’un blanc immaculé, comme une french pedicure.

  • Comment tu les trouves mes pieds ? me demanda-t-elle.

  • Ils… Ils sont magnifiques…

  • Merci ! J’en prends bien soin tu sais.

  • Ca se voit… balbutiai-je.

  • Ha ha, tu es presque en train de baver dessus ! Ouvre la bouche.

Je ne m’attendais pas à ça. J’ouvris la bouche et délicatement elle y introduisit le collant qu’elle venait d’enlever. Elle commença par le haut du collant et laissa les pointes dépasser à l’extérieur de ma bouche. Je retrouvais cette odeur de collant neuf, mais cette fois mélangée à l’odeur du cuir de ses chaussures. En tout cas aucune odeur désagréable, au contraire.

  • Ferme la bouche maintenant, me dit-elle.

Elle se saisit alors du large rouleau adhésif posé sur la table juste à côté d’elle et en découpa un gros morceau qu’elle me colla sur la bouche. Elle prit soin de fixer les pointes des pieds du collant juste sous mes narines.

  • Voilà, au moins maintenant tu arrêteras de baver en nous regardant !

Elle m’avait déjà privé de l’usage de mes mains, elle me privait maintenant de la parole.

  • Ah oui, juste un détail, me dit-elle avec un petit sourire coquin, quand je mets un collant je ne porte jamais de culotte. Et pour tout te dire, je suis assez excitée depuis tout à l’heure. Donc si tu ressens un petit goût dans la bouche, tu sais d’où ça vient !

Effectivement, dès qu’elle avait introduit l’entrejambe de son collant dans ma bouche, j’avais ressenti une petite saveur légèrement salée. C’était donc ça. J’étais donc contraint de goûter aux sécrétions les plus intimes de la belle Sarah, tout en inhalant à chaque respiration les effluves du collant qu’elle avait porté toute la journée dans ses jolies ballerines.

Je n’en pouvais plus. Mon sexe était secoué par des spasmes de désir et de frustration.

Entre temps, Chloé était revenue au salon avec une boîte blanche qu’elle remit à Julie. Elle ouvrit la boîte et en sortit un vibromasseur bleu en forme de dauphin. Un vibro… J’eus tout de suite une idée sur ce qui allait se passer.

  • Bon… Je ne sais pas si Sarah t’a un peu expliqué la situation, mais comme tu peux le constater nous sommes très complices toutes les trois. Nous nous connaissons depuis l’e n f a n c e , nous faisons les mêmes études et nous vivons ensemble depuis 3 ans. On est très amies… Et parfois même un peu plus que ça. On se dit tout, on s’échange tout…

  • Parfois même nos petits copains, dit Sarah en riant.

  • Eh oui c’est arrivé… On a un intérêt commun pour la sexualité, qu’on vit de manière très ouverte et épanouie, ce qui explique qu’on se raconte nos expérience ou qu’on s’offre parfois des sex toys ou de la lingerie en cadeau. Ca explique aussi pourquoi tu es là comme ça devant nous. On est toujours à la recherche de nouvelles expériences intéressantes.

  • Et pour répondre à la question que tu te poses sûrement, me dit Sarah, oui, on fait parfois des choses ensemble entre filles !

Toutes les trois éclatèrent de rire. J’avais envie de crier ma frustration, de les supplier de me laisser jouir, mais je pouvais juste grommeler.

  • Et maintenant, dit Julie, je vais te montrer comment je me sers de mon petit dauphin. Mais avant ça, je vais préparer le terrain. Mets-toi à genoux devant moi. Je veux que tu regardes attentivement.

Chapitre VI :

Elle se recula dans le canapé et écarta les jambes. Lorsqu’elle remonta sa jupe, je fus très surpris de voir qu’elle portait non pas un collant, mais des bas autofixants… Je n’aurais pas pu le remarquer quand je m’occupais de ses pieds quelques minutes auparavant, car ses bas étaient remontés très haut sur ses cuisses.

  • Qu’est-ce qui se passe ? me demanda-t-elle avec un grand sourire. Tu as l’air surpris ! Ce sont mes bas qui te font cet effet-là ?

J’étais évidemment dans l’incapacité de répondre, mais je savais très bien que de toute façon cette question n’attendait pas de réponse. Je me contentai donc de hocher la tête.

Sa petite culotte noire semblait extrêmement douce au toucher, probablement du lycra ou une matière similaire, et était ornée d’un petit noeud juste sous l’élastique. Elle lui collait littéralement à la peau. Je pouvais voir le tissu épouser la forme de ses lèvres vaginales.

Lentement, très lentement, elle commença à déboutonner son chemisier avec un regard aguicheur. Elle guétait le moindre signe de faiblesse chez moi. Je ne pouvais pas m’empêcher de contempler ses formes qui se dévoilaient progressivement à moi.

  • Tu aimes me mater hein ? Eh ben alors vas-y, régale-toi !

Sur ces mots, elle retira complètement son chemisier. Son soutien-gorge était assorti à sa culotte : même matière soyeuse, même petit nœud entre les seins. Tandis que j’étais en admiration devant ce magnifique effet pigeonnant, elle dégrafa sou soutien-gorge d’une traite. En une fraction de seconde je me retrouvai face à son indécente poitrine. Elle devait faire un bonnet C, avec des seins bien fermes et de jolis petits tétons bien durs.

  • Comment tu trouves mes seins ? Mmmh ? Si j’en juge par ton regard, tu as l’air de les apprécier ! J’adore les caresser, me dit-elle. C’est un endroit très sensible de mon corps. Et très doux aussi... Tiens regarde.

Elle s’approcha de moi et frotta ses seins sur mon visage pendant quelques secondes. Je fermai les yeux, pour mieux me concentrer sur la sensation de ces mamelons caressant mes joues. Elle m’excitait. Je voulais crier. Mais par-dessus tout, je voulais jouir.

Je rouvris les yeux lorsqu’elle se recula à nouveau dans le fauteuil, la main droite entre les cuisses et l’autre sur son sein gauche. Elle commença à se caresser. Ses doigts parcouraient son sexe de haut en bas à travers sa culotte. Une auréole commençait à s’y former.

Après quelques secondes, sa respiration se fit plus profonde. Elle semblait totalement s’abandonner au plaisir. Elle ferma les yeux et pencha la tête en arrière. Sa poitrine gonflée s’offrait à moi, mais je ne pouvais pas en profiter. Elle ouvrit la bouche pour laisser échapper un long soupir de plaisir...

Puis elle se redressa un peu pour enlever sa culotte, qu’elle fit très lentement glisser le long de ses jolies jambes. Elle la fit habilement balancer au bout de son pied droit et s’en servit pour me caresser le visage. Je sentais sur mes joues rougies le contact froid de sa petite culotte humidifiée par son plaisir.

  • Tu vois comme je mouille ? C’est tellement bon, si tu savais…

Elle recula à nouveau au fond du fauteuil. Les jambes tendues, elle vint saisir ma tête entre ses pieds tout en écartant les cuisses. La douceur de ses pieds sur mon visage et la vue imprenable que j’avais sur sa vulve grande ouverte déclenchèrent un contraction dans mon sexe. J’avais tellement envie d’elle. Tout mon corps la désirait, et elle le savait parfaitement.

Chapitre VII :

Tout en me regardant dans les yeux, elle saisit le petit dauphin qui se trouvait juste à côté d’elle et le porta à sa bouche.

  • Il est un peu trop froid, me dit-elle. Je vais le réchauffer comme tu as fait avec mes pieds tout à l’heure. Ca avait bien marché…

De la manière la plus sensuelle qui soit, elle se mit à lécher le vibro pendant de longues minutes. Elle le faisait entrer puis sortir de sa bouche, faisait tourner sa langue au bout, lui appliquait de temps à autre un furtif coup de langue. Elle était très concentrée sur ce qu’elle faisait et semblait experte en la matière.

J’aurais tout donné pour qu’elle me fasse cela à moi et non à ce vulgaire bout de silicone. Cette pensée déclencha en moi un nouveau soubresaut. Je sentis alors une goutte perler au bout de mon gland.

  • Hmmm je crois qu’il est prêt maintenant, dit-elle en contemplant le vibro sur lequel brillait sa salive.

Lorsqu’elle le posa sur son sexe, je sentis ses orteils se contracter sur mes tempes. Ils se contractaient et se décontractaient au gré des sensations de la demoiselle.

  • Oooooh oui, il est tout chaud… Hmmmm…

Après quelques mouvements autour de son clitoris, elle le fit descendre le vibro jusqu’à ce qu’il écarte ses grandes lèvres. Elle gémissait de plus en plus. Puis elle tourna légèrement le bouton pour activer les vibrations. Elle poussa un petit cri.

  • Oh putain, Damien… C’est trop booooon… Ooooooh…

L’entendre prononcer mon prénom pendant qu’elle prenait du plaisir fit redoubler mon désir pour elle. Mon excitation était telle que j’en étais maintenant arrivé à souhaiter qu’elle en finisse rapidement. Mais elle prenait tout son temps... Les minutes me paraissaient des heures. J’avais envie de jouir comme jamais. Je la voyais à présent faire des va-et-viens dans son vagin avec le petit dauphin. Elle l’engloutissait entièrement, et à chaque fois qu’il en ressortait, il me paraissait de plus en plus mouillé…

Emportée par le plaisir, Julie criait de plus en plus fort.

  • Aaaaah putain… Oh oui… Putainnnnnnnn… Hmmmmmm… Damien… J’ai envie de jouir… Mmmmmmh…

Elle me le disait parce qu’elle savait pertinemment à quel point moi aussi, j’en avais envie.

Petit à petit, elle commençait à perdre le contrôle de ses jambes, secouant de temps en temps ma tête qu’elle serrait toujours entre ses pieds. Combien de temps cela allait-il encore durer ? Allait-elle enfin se décider à jouir ?

La réponse arriva quelques secondes plus tard. Dans un spasme incontrôlable, elle me repoussa avec ses pieds.

  • Aaaaah !! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!! Mmmmmmmmmmh !!!

Son corps convulsait sous l’effet de l’orgasme. Un petit filet de mouille se mit à suinter entre ses lèvres vaginales encore un peu écartées.

La bouche grande ouverte, les yeux fermés, elle reprenait son souffle en tremblotant. Apaisée, repue, heureuse. Son visage s’illumina d’un magnifique sourire. Qu’est-ce qu’elle était belle. Qu’est-ce que j’avais envie d’elle…

  • Alors ma belle, c’était bon on dirait ! lui lança Sarah.

  • Oh… Sans commentaire, marmonna Julie, les yeux dans le vague.

  • En tout cas tu fais de l’effet à Damien… Il a même réussi à tacher la moquette !

Je baissai les yeux vers mon sexe qui appelait à l’aide, dégoulinant, dont les sécrétions avaient effectivement fait une petite tache humide sur le tapis.

Chapitre VIII :

  • Il va falloir remédier à ça et calmer ses ardeurs... Je crois que j’ai exactement ce qu’il faut pour ça ! dit Sarah.

Elle s’avança vers la boîte blanche sur la table, fouilla un peu et en sortit un petit objet bizarre.

  • Tu connais ceci ? me demanda-t-elle en désignant l’objet. Ca s’appelle le « CB 3000 ». C’est une sorte de ceinture de chasteté pour les hommes.

Ca ressemblait à un petit tube translucide en forme d’arc de cercle.

  • Je t’explique. Le principe est très simple : on introduit le pénis au repos dans la coque rigide et on referme le mécanisme. L’anneau qui le maintient en place entoure aussi les testicules, donc impossible de l’enlever. Et regarde comme c’est étroit… Impossible aussi de bander avec ça ! Pas moyen de se masturber non plus. C’est tellement bien ajusté que tout mouvement à l’intérieur est impossible. Pas mal hein ?

Je la regardai d’un air désespéré.

  • Ne me fais pas ces yeux-là... Je vais te le mettre de toute façon. Je ne veux pas risquer que tu aies un orgasme sans notre accord ! Par contre, tu bandes beaucoup trop pour que ça rentre. Il va falloir que tu débandes. Chloé, tu peux m’apporter des glaçons s’il te plait ?

Je me préparais au pire. Chloé revint quelques secondes plus tard avec un sachet de glaçons.

  • Regardez comment faire débander un mec, les filles. C’est très simple de les faire bander, ça on le sait déjà, mais c’est aussi simple de les faire débander ! Quelques glaçons suffisent. Surtout, il faut faire attention à ne pas le stimuler pendant l’opération, car notre Damien est tellement au taquet que le moindre contact sur son sexe risquerait de déclencher un orgasme… D’abord on prend un glaçon et on lui applique ici, sur le scrotum, à la base des couilles. Un autre glaçon au-dessus du sexe, et ça devrait déjà le calmer un peu. On laisse fondre un peu, surtout sans faire le moindre mouvement.

La sensation de froid intense me parut comme une secousse électrique, presque une brûlure. Je poussai un gémissement plaintif, qu’elle ignora complètement tout en continuant sa démonstration.

  • Progressivement, on applique d’autres glaçons au-dessus et en-dessous du sexe, pour finalement arriver au gland, la partie la plus sensible. Regardez comme il diminue déjà de volume. Il sera bientôt prêt.

Les filles avaient l’air très intéressées par ce que me faisait Sarah. Tandis que moi, je voyais mon sexe rétrécir presque à vue d’œil. La sensation de froid était assez désagréable, ça pinçait et tirait un peu. Progressivement je débandais…

Puis elle ouvrit le petit appareil et le glissa sur mon sexe ramolli. Je ne sentais quasiment rien, le froid avait anesthésié la zone. Elle enserra la base de mon pénis et mes testicules dans un grand anneau. Une fois installé, elle assembla les deux parties du dispositif, qu’elle verrouilla à l’aide d’un tout petit cadenas.

  • Et voilà ! dit-elle en faisant balancer la clé du cadenas sous mon nez. Pas d’érection, pas d’orgasme ! Tu sais que j’ai entendu parler de mecs qui restaient avec ça pendant plusieurs mois d’affilée, sans jamais l’enlever…

  • Plusieurs mois ! fit Chloé, interloquée.

  • Oui. C’est leur femme qui possède la clé et décide des périodes d’abstinence de leur homme. Et elle pendant ce temps-là, rien ne les empêche de se faire plaisir toutes seules ! Et devant leur homme impuissant, c’est encore mieux, dit-elle d’un ton malicieux.

Cela me fit frémir. Les sensations revenaient petit à petit… Mon sexe se réchauffait, et bien vite je le sentis à l’étroit dans sa prison.

  • Regardez, il a déjà bien rempli la petite cage, mais il ne pourra jamais aller plus loin que ça. Et le pire là-dedans, c’est qu’il est de plus en plus excité le pauvre !

Elle ne croyait pas si bien dire. Ma frustration venait d’atteindre un nouveau seuil. A chaque fois je pensais avoir atteint les limites, et à chaque fois elle me montrait qu’on pouvait les repousser. Je ressentais mon désir dans chaque partie de mon corps. Mes couilles étaient prêtes à tout lâcher, pourvu qu’on leur en laisse l’opportunité. J’aurais fait tout ce qu’elles voulaient pour me laisser jouir. N’importe quoi. J’étais prêt à tout.

Chapitre IX :

  • Tu as envie de jouir hein ? me demanda-t-elle.

  • Hmmmffff !!!

  • Non ?

  • Hmmmmph !!!!

  • Ah bon… Dommage, moi qui voulais justement te soulager…

Elle jouait avec mes nerfs. Elle testait ma résistance, qui s’amenuisait progressivement.

  • Eh bien tant pis pour toi si tu ne veux pas jouir…

  • Euh… Moi par contre, je dirais pas non ! lança Chloé.

Etonnée, Sarah se retourna vers Chloé et la dévora de ses grands yeux.

  • Hmmm dis-donc toi…

  • Ben oui, répond Chloé, je sens que je suis bien excitée là…

  • Waow ! Faut que tu fasses ton show à notre invité alors ! D’accord ?

Chloé rougit un peu, mais ne semblait pas s’opposer à la requête de Sarah.

  • Ahaaa ! Alors Damien, figure-toi que notre petite Chloé a aussi une particularité… Evidemment je ne te dirai pas ce que c’est, mais tu verras par toi-même, me dit-elle avec un petit sourire coquin.

La jolie Chloé, qui semblait jusque là restée un peu en retrait par rapport à ses deux copines, venait de changer de regard. Elle paraissait tout à coup très sûre d’elle.

  • Couche-toi sur le dos, me dit-elle sur un ton qui ne laissait place à aucune contestation.

Je ne m’attendais pas à recevoir un ordre de sa part, mais je me pliai à sa demande. Je n’étais de toute façon pas en position de f o r c e .

Alors que j’étais couché sur la moquette, elle vint se poster debout juste au-dessus de mon visage. Je pouvais donc tout voir sous sa jupe. Pas la moindre trace de culotte. Son collant, plaqué contre son sexe, était orné d’auréoles qui trahissaient son état d’excitation. Je fus stupéfait de voir à quel point elle mouillait. En tout cas elle n’avait pas menti : elle était clairement très excitée.

Cette vision me rappela à quel point il m’était impossible d’exprimer ma propre excitation, bâillonné et attaché comme je l’étais, avec le sexe emprisonné dans cette petite cage de plexiglass. Je pouvais juste contempler la belle et ses charmes qu’elle m’exhibait fièrement et ravaler ma frustration.

Très délicatement, elle commença à me caresser le visage avec son pied droit. Ses gestes étaient à la fois précis, doux et sensuels. Son pied, que je devinais un peu froid à travers le nylon, venait refroidir mes joues brûlantes. Puis elle le plaçait sur ma bouche, le baladait sur mon menton, mon nez, mon front… Tout cela avec une infinie douceur.

Sa main droite avait maintenant glissé sous son collant et commençait à s’agiter sur son clitoris. Après s’être caressée comme ça quelques secondes, elle enleva son collant assez rapidement et le laissa tomber sur mon visage. Il était un peu alourdi par son plaisir qui avait inondé l’entrejambe. Je pouvais en sentir l’odeur, malgré celui que Sarah m’avait auparavant collé sous les narines… C’était un mélange terriblement érotique de différentes fragrances féminines intimes.

Puis elle ôta le collant de ma figure, pour être sûre que je puisse contempler son sexe, parfaitement épilé façon ticket de métro. Elle se dandina quelques secondes puis s’agenouilla très lentement au-dessus de moi. Tandis que son sexe se rapprochait inexorablement de mon visage, je voyais ses lèvres vaginales s’écarter un peu. A mi-chemin, une petite goutte de son précieux nectar s’échappa, sous la forme d’un fin filet qui atterrit juste sur le bout de mon nez.

Qu’est-ce que j’aurais donné pour pouvoir goûter son sexe à pleine bouche... Si pur, si beau, si parfait… J’avais envie de me délecter de sa liqueur qui me faisait perdre la tête…

Mais mes pensées furent brutalement interrompues lorsque je la vis introduire un doigt en elle. Je ne m’y attendais pas du tout, du moins pas si vite. J’eus un tressaillement. Envie de plonger ma langue en elle. De lui lécher les doigts. De la faire jouir. De jouir. Et surtout d’enlever cette maudite cage autour de mon sexe qui m’empêchait de lui montrer à quel point j’avais envie d’elle.

J’étais emporté par ce trop-plein d’émotions refoulées, cette frustration accumulée. Je tentai de crier et de me débattre. Et elle, très calme et posée, me faisant un sourire rassurant, sortit le doigt trempé de son sexe et le colla sur ma bouche bâillonnée.

  • Chuuuuuuut me dit-elle d’une voix très douce. Je sais très bien de quoi tu as envie. Ca ne sert à rien de te débattre. Calme-toi et regarde. J’ai quelque chose à te montrer.

Elle remit son doigt en elle et commença des allers-retours. Je sentais la trace du nectar que son doigt avait laissée juste sous mon nez. J’avais la tête qui tourne. Comme saoul. Ivre de désir.

Je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder se masturber de plus belle à seulement quelques centimètres de mon visage. Ses va-et-viens se firent de plus en plus rapides. Puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Elle commençait à gémir et moi aussi. La cadence s’accélérait encore. Et encore. Elle haletait. Je me demandais combien de temps allait encore durer ce délicieux supplice qu’elle m’infligeait…

L’instant d’après, un cri déchirait l’air et mon visage était trempé d’un liquide chaud. Chloé était littéralement en train d’éjaculer sur moi. J’eus droit à quatre salves de son délicieux venin.

Voilà donc la « particularité » de la belle Chloé : elle était ce qu’on appelle en des termes peu élogieux une femme-fontaine…

Je fermai les yeux. Ce que j’attendais par-dessus tout, et qu’on me refusait depuis des heures, Chloé venait de l’avoir, là, juste sous mon nez. Ma frustration redoubla. J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. Mon cœur battait la chamade. Je sentais des spasmes dans mon ventre, mais rien. Toujours rien. Toujours pas moyen de jouir...

Sarah saisit le collant que Chloé avait abandonné à côté de moi et s’en servit pour m’essuyer le visage.

  • Alors ? Que penses-tu du talent de Chloé ? Pas mal hein ! me dit-t-elle.

J’étais dans un autre monde. Incapable de répondre quoi que ce soit, je me contentai de soupirer en fermant les yeux.

  • Bon… Je pense qu’il faut un peu te soulager maintenant. Tu l’as mérité. Hein les filles ?

  • Oui c’est vrai, dit Julie. Il faut qu’on relâche un peu la pression, sinon il va nous faire une syncope avant la fin de la soirée !

Les trois filles se mirent autour de moi. Mon vœu le plus cher allait s’exaucer ! Cette délivrance que je n’attendais plus… Enfin, j’allais pouvoir jouir, et probablement connaître plus gros orgasme de toute ma vie. A cet instant, plus rien d’autre n’avait d’importance.

Chapitre X :

  • Mets-toi à genoux face au fauteuil, me dit Sarah. Et écarte les jambes.

Je m’exécutai et tournai donc le dos aux filles, non sans une certaine appréhension. Mais je n’en étais plus là depuis longtemps. Tout ce qui pouvait soulager ma frustration était bon à prendre. J’étais prêt à tout.

  • Maintenant pose ta tête sur le coussin et détends-toi. Laisse-toi aller.

Sarah sortit de la boîte blanche un petit tube blanc que j’identifiai immédiatement comme étant du lubrifiant, ainsi qu'un gant en latex qu’elle enfila à la main droite. Elle fit couler une bonne dose de lubrifiant sur son index, puis vint le poser directement sur mon anus. La sensation du liquide froid et glissant sur cette zone ultra sensible était tout simplement divine. Lorsqu’elle commença à me titiller, je ne pus retenir un long soupir de plaisir. C’était la toute première stimulation à laquelle j’avais droit depuis le début de mon calvaire. Elle savait que c’était insuffisant pour me donner un orgasme, donc elle s’en donnait à cœur joie.

Pendant que je me concentrais sur ses caresses, je me laissais aller à imaginer la sensation de sa main sur mon sexe. Il m’en aurait fallu si peu pour jouir… Mais il était inaccessible dans sa petite cage, et de toute façon Sarah prenait bien garde à ne pas s’en approcher. Elle m’avait pourtant promis une délivrance … Ce n’était donc qu’une question de temps. Je me focalisai sur cette idée et je finis par me détendre progressivement. C’était si bon ces caresses…

Tout à coup, je sentis son doigt s’enfoncer complètement en moi, sans rencontrer la moindre résistance.

Je pouvais sentir le poids du regard des trois filles sur moi et je me vis, complètement soumis, le cul offert à Sarah qui l’explorait avec dextérité. J’avais perdu toute forme de dignité et d’intimité.

  • Regardez comme il se tortille de plaisir, dit-elle. Il aime ça le bougre !

Oui j’aimais ça. Je me sentais humilié, mais je ne pouvais m’empêcher de profiter à fond de la délicieuse sensation que me procurait le doigt habile de Sarah.

  • Est-ce que vous avez déjà vu un homme éjaculer sans jouir ? demanda-t-elle.

  • Euh non… Je savais même pas que c’était possible ! dit Chloé.

  • Bien sûr que si. Il suffit de masser la prostate et le sperme se mettra à couler dans qu’il aie d’orgasme. Démonstration...

Moi qui espérais tellement une délivrance, je venais de comprendre qu’elle ne serait que partielle. Le doigt expert de Sarah savait exactement où appuyer et comment stimuler mon fameux « point G masculin ». Il ne fallut pas longtemps pour que je commence à ressentir quelque chose d’inhabituel en moi, sans toutefois savoir de quoi il s’agissait. C’était agréable, mais sans plus.

Au bout de quelques minutes, mon sexe s’enveloppa d’une douce chaleur. Je compris immédiatement que c’était mon propre sperme qui inondait la petite cage dans laquelle mon sexe était enfermé.

  • Regardez, je suis en train de le faire éjaculer, rien qu’en massant sa prostate. Il n’a aucun contrôle là-dessus. Et il n’a pas d’orgasme. Je pourrais lui vider entièrement les couilles en continuant comme ça !

Regard étonné et amusé des deux autres. Mon sperme commençait à suinter par les ouvertures de la petite cage.

  • Mais je ne vais pas le faire. Le but ici, c’était juste de lui relâcher un peu de pression. Mais pas question de le faire jouir… Du moins pas tout de suite.

  • T’es vraiment cruelle, dit Chloé.

  • Oui c’est vrai… Mais regarde l’état dans lequel il est… Tu imagines l’orgasme qu’il va avoir quand on décidera de le faire jouir ? Plus on retarde, meilleur c’est !

  • Ok, mais là il n’en peut plus le pauvre… Ca fait des heures qu’on s’amuse avec lui.

  • Je sais. Mais il lui reste une dernière épreuve à subir avant de pouvoir jouir. Ce ne sera pas la plus facile, mais je pense qu’il ne regrettera pas…

Chapitre XI :

Le supplice n’était donc pas terminé comme je le pensais.

  • Couche-toi par terre, sur le dos, le long du canapé, me dit Sarah.

Elle prit place dans le canapé, s’asseyant juste au-dessus de ma tête. Elle se pencha vers moi et d’un coup sec arracha le morceau de ruban adhésif qui recouvrait ma bouche. Je dus lutter pour ne pas hurler de douleur.

  • Aïe… Oui, ça fait mal ça… Désolée. Attends, je vais récupérer ceci...

Elle retira délicatement son collant humide de ma bouche, l’examina quelques secondes et le jeta par terre.

  • Alors, tu as bien eu le temps de profiter de l’odeur et du goût du collant que j’ai porté toute la journée ? me demanda-t-elle en riant. Qu’est-ce que tu en penses ?

Je lui répondis par un sourire gêné, tandis qu’elle se rasseyait en croisant les jambes. Elle regardait son pied gauche qui décrivait des petits mouvements circulaires à quelques centimètres de mon visage.

  • Tu peux parler maintenant ! Réponds ! Tu as aimé ou pas ?

  • Oui, répondis-je.

  • Ahaaa ! Ca t’a bien excité hein ?

  • Oui.

  • C’est bien ce que je pensais. Et depuis tout à l’heure tu meurs d’envie de goûter à mes jolis petits orteils. Pas vrai ?

  • Si.

  • Et tu crois que ça va se produire ?

  • Je n’en sais rien… J’espère…

  • Ha ha ha ! Qu’il est mignon !

Julie et Chloé vinrent s’asseoir à côté d’elle. Sarah décroisa les jambes. Elle posa un pied sur mes yeux et l’autre sur ma bouche. Impossible de dire ou de voir quoi que ce soit. La première chose que je remarquai fut l’incroyable douceur de ses pieds, doux comme la peau d’un bébé. Ensuite ce fut cette odeur désormais familière de cuir et nylon neuf, imprégnée sur sa peau. Comme elle contractait et décontractait ses orteils, ce parfum était plus ou moins prononcé, mais toujours aussi enivrant…

Je sentis tout à coup les pieds de ses deux copines se poser sur mon torse. Elles se mirent à me caresser tout le corps avec leurs pieds, à l’exception de mon pauvre sexe qui ne tenait plus en place dans sa petite cage. Je me tortillais et gémissais de bonheur.

  • Je vais t’accorder ce que tu as demandé, me dit Sarah.

A peine eut-elle fini sa phrase que je sentais ses orteils écarter mes lèvres, se frayant un chemin dans ma bouche.

  • Vas-y, régale-toi.

Je ne me fis pas prier. Ma langue parcourut chacun de ses délicieux petits orteils, s’attardant sur chacun d’eux.

  • Mmmmh c’est bon hein… Passe bien ta langue entre les orteils, j’adore ça…

Moi aussi j’adorais ça… Et les caresses des deux autres titillaient chaque partie de mon corps. La tension devenait progressivement insoutenable en moi. Sans cette maudite cage j’aurais eu une érection monstrueuse. J’aurais pu leur montrer à quel point elles m’excitent toutes les trois… J’aurais pu décharger des litres de sperme... J’aurais…

  • Quelle heure est-il ? demanda Sarah, interrompant brusquement mes fantasmes.

  • Euh… Presque minuit et demi, répondit Julie.

  • Oh ! Ce n’est donc plus ton anniversaire, dit Chloé d’un air dépité.

  • On va laisser notre pauvre Damien tranquille.

Sarah avait toujours son pied dans ma bouche.

  • Voici donc ta dernière épreuve… Tu vas rentrer chez toi et garder la cage de chasteté. Demain soir, tu reviendras nous rendre visite pour qu’on te l’enlève... Et qui sait ce qui peut se produire alors !

Mon cœur se mit à battre la chamade.

  • Mmmmmmffff ! grognai-je.

  • Chuuuut. Je sais que ça va être difficile. Mais maintenant j’ai le contrôle total de ton sexe. Pas toi. Penses-y... Pendant 24 heures, je veux qu’à chaque seconde tu penses à Chloé, à Julie et à moi, à tout ce qui s’est passé ce soir, à ton désir, à ta frustration. Je veux que tu ressentes quelque chose que tu n’as jamais ressenti auparavant.

Je soupirai en fermant les yeux.

  • Bien, je vois que tu as compris. Des questions ? demanda-t-elle en ôtant le pied de ma bouche.

  • N… Non, balbutiai-je après une seconde de silence.

  • Parfait. Relève-toi alors.

Elle se leva aussi et m’enleva les menottes. Mon premier réflexe fut de toucher la cage qui entourait mon sexe. Mais aucune sensation n’était possible à travers le plexiglass.

  • Et n’essaie pas de te branler, tu n’y arriverais pas. C’est bien étudié tu sais !

Effectivement, pas moyen de faire faire le moindre mouvement à mon sexe. J’étais donc condamné à suivre les instructions de Sarah.

  • Tu peux te rhabiller maintenant… Et ne t’inquiète pas, c’est invisible sous le pantalon.

Je me rhabillai, la tête ailleurs, ivre de désir et sachant que je devrais attendre le lendemain pour avoir un hypothétique soulagement. Tandis que j’enfilais mes vêtements, Sarah enlevait les siens.

  • Dites les filles, mis à part Damien, je suis la seule à ne pas avoir pris mon pied ce soir… Et je vous avoue que je me ferais bien brouter le minou par l’une de vous deux ! Ca vous tente ? demanda-t-elle d’un air coquin.

  • Mmmmh ! Et pourquoi pas par nous deux ? lui répondit Julie en se déshabillant lascivement devant moi.

  • Ooooh excellente idée, conclut Chloé qui se déshabillait aussi.

  • Waouh ! Je suis gâtée ce soir !

Toutes trois étaient à présent complètement nues. Jusqu’au bout, les trois garces me firent languir. Elles me chauffaient à blanc pour mieux affirmer leur domination. Et ça fonctionnait à merveille…

  • Dites au revoir à Damien ! dit Sarah.

  • Au revoir Damien ! me lança Chloé avec un regard plus que suggestif.

  • A demain ! J’ai passé un super anniversaire… Complètement inattendu ! dit Julie avec son plus beau sourire.

  • A demain alors, répondis-je.

Sarah me prit par la main et me raccompagna vers la porte d’entrée.

  • Demain, 20 heures ici. Ok ?

  • Ok.

  • Il vaudrait mieux que tu sois là.

  • J’y serai.

  • Parfait. Maintenant je te laisse, j’ai la chatte trempée et j’ai très envie de me faire lécher… Tu comprends ? A demainnnnnn ! me dit-elle en refermant la porte doucement. Elle avait retrouvé le sourire enjoué de la Sarah que j’avais prise en stop quelques heures plus tôt.

Chapitre XII :

Je me retrouvai complètement hagard dans le couloir froid devant cette porte close, avec le sentiment de revenir soudain à la réalité après avoir rêvé. En y repensant, tout cela me paraissait complètement surréaliste. Et si j’avais vraiment rêvé ? Quelques éclats de rire que je pus discerner à travers la porte me confirmèrent le contraire. Au même moment, je repris la pleine mesure de ma frustration et de mon désir inassouvi. Mais qu’est-ce que je pouvais faire ? Je n’avais d’autre choix que d’accepter ma sentence, rentrer chez moi et répondre présent le lendemain soir.

Je baissai les yeux vers mon entrejambe pour m’assurer que l’accessoire était invisible sous les vêtements et instinctivement je me mis à tâter l’objet à travers mon pantalon. Je descendis par les escaliers pour voir si la descente des marches m’apporterait une quelconque sensation ; rien. Mon pénis était comme anesthésié dans cette petite cage incassable.

Incassable ? Et si j’essayais quand même ? En regagnant ma voiture, l’idée d’une rébellion me traversa l’esprit. Mais l’image des trois jeunes filles profitant de leur domination revenait sans cesse dans ma tête. Je les imaginais exerçant leur absolu pouvoir de séduction sur moi comme bon leur semble. J’étais à leur merci, elles faisaient de moi ce qu’elles voulaient. Qu’est-ce qu’elles étaient belles. Qu’est-ce que j’étais faible face à elles.

Arrivé chez moi, je me déshabillai immédiatement. En baissant mon pantalon, je sentis quelque chose d’inhabituel dans la poche gauche. J’en sortis un bas noir. L’une de mes trois tentatrices – probablement Julie – l’avait délibérément placé là, probablement pour me rappeler ma condition, au cas où je l’aurais oubliée… Je le portai à mon nez et inspirai une grande bouffée, immédiatement étourdi par ce parfum si érotique de cuir et de nylon tout neuf.

Il fallait que je trouve un moyen de me soulager, coûte que coûte. Après une analyse minutieuse de la cage de plastique qui retenait mon sexe prisonnier, je dus me résigner à accepter que toute stimulation physique était réellement impossible. Je pris une longue douche et me mis au lit l’esprit confus, imaginant toutes sortes de scénarios possibles pour le lendemain. Impossible de penser à autre chose… Mon sexe dégoulinait de désir, confiné dans sa petite cage. Mais je finis par m’endormir, épuisé.

Le lendemain matin au réveil, la première chose que je remarquai fut le drap trempé de mon excitation nocturne. Un frisson parcourut mon dos et toutes les images et les sensations de la veille réapparurent d’un coup. Les trois jeunes filles avaient pris possession de mon esprit comme de mon plaisir. Même en leur absence j’étais f o r c é de me plier à leur volonté, à l’encontre de la mienne. Une ultime tentative de masturbation se solda par un échec cuisant et ne fit qu’accroître ma frustration. Puisqu’il m’était clairement impossible de me soulager, il fallait à tout prix que je pense à autre chose, que je me vide la tête en attendant la délivrance du soir. C’était décidé, mon boulot allait devenir mon refuge pour la journée.

Chapitre XIII :

Après un rapide petit déjeuner, je m’habillai et partis travailler. Arrivé au bureau, mon regard se fixa sur ma collègue Isabelle. Elle portait un chemisier blanc offrant une vue imprenable sur son magnifique décolleté, une jupe classique droite gris foncé, sur un collant à motif brun opaque avec des lignes formant des los a n g es, et de magnifiques petits escarpins attachés par une lanière autour de la cheville. Ca aurait pu être la tenue de la parfaite businesswoman, mais vu son âge ça donnait sur elle plutôt l’image d’une étudiante en examens.

Pour être honnête, Isabelle ne m’a jamais laissé indifférent. Une jeune femme sûre d’elle et pleine de charme. De celles que l’on admire en secret et à qui l’on pense parfois sans l’avouer à personne. Elle avait le don de s’habiller exactement comme j’aime, à la fois classique et décontractée. Manifestement bien dans sa peau et dans son corps, elle en jouait juste assez pour que ça se remarque, sans jamais en faire trop.

J’avais parfois du mal à garder ma contenance en sa présence, tant elle me troublait. Et ce jour-là, en la voyant vêtue de la sorte, je perdis presque mes moyens. Mes aventures de la veille me revinrent comme une claque en plein visage. Je rougissais. Mais pourquoi diable avait-elle décidé justement ce jour-là de mettre une tenue qui me rend dingue ? Evidemment elle ne pouvait pas savoir ce qui m’était arrivé la veille. Ce n’était que le fruit du hasard. Le sort s’acharnait, simplement... Et moi je devais sauver les apparences.

  • Salut Isa ! lui fis-je sur un ton faussement détaché. Dis-donc tu es très en beauté ce matin !

  • Ah, ça veut dire que les autres jours non ? répondit-elle sur le ton de la plaisanterie.

  • M’enfin, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit…

  • Mouais ! Mais merci quand même pour le compliment…

  • Je t’en prie, c’est sincère.

  • Arrête, tu vas me faire rougir !

  • Ok, j’arrête. Désolé.

  • Non, je déconne ! Après tout, je suis une fille, donc j’aime les compliments. Si tu veux continuer, vas-y, je t’en prie !

  • Euh…

  • Alors quoi ? J’attends !

  • Ben oui, mais…

  • Ok ! dit-elle en m’interrompant. Je vois que t’as du mal. Je te laisse jusqu’à ce midi pour me trouver 3 compliments, me dit-elle en riant. Et sincères hein, les compliments ! On ira manger un bout ensemble et si je ne suis pas convaincue, tu me paieras mon repas !

Battu 1-0 en quelques secondes par ma collègue, première personne que je croisais dans la journée. Ca commençait bien. Et pourtant des compliments, j’aurais pu lui en faire des dizaines. Je ne savais simplement pas par où commencer. Et puis surtout, j’étais timide.

Toute la matinée, ça revint comme une boutade entre nous. Quand elle passait près de moi, elle me lançait un petit regard entendu. Moi, je tentais de me concentrer sur mon travail, sans succès. Je pensais à ce que je pourrais bien lui dire. Le temps filait à toute allure !

Midi trente. Isabelle s’approcha de moi.

  • Ding dong ! fit-elle. L’heure a sonné ! On va manger ?

Tout en disant ça, elle se dandinait légèrement devant moi, faisant se relever sa jupe de quelques millimètres. Quelques millimètres de plus de ses jolies cuisses, que j’eus beaucoup de mal à ne pas dévorer des yeux.

  • Je… Euh… Oui, on y va.

  • Qu’est-ce qui se passe ? Ca va ?

  • Oui oui, t’inquiète, tout va bien, fis-je en essayant de rire un peu.

Nous avions l’habitude de nous retrouver entre collègues dans un petit snack tout proche du bureau. Cette fois, j’étais seul avec Isa, devant qui je me sentais comme devant un prof lors d’un examen. Une fois à table, après avoir passé commande, elle lança directement les hostilités.

  • Alors ? dit-elle. Tu n’as pas oublié pourquoi on est là hein ?

  • Hé hé non, ne t’inquiète pas, j’ai pas oublié.

  • Bien, alors... J’attends les compliments !

  • Quoi, là, comme ça ?

  • Ben oui !

  • C’est bizarre, c’est un peu embarassant comme situation…

  • Pas pour moi en tout cas ! dit-elle en riant.

  • Ah ça je m’en doute…

  • Allez, ne te fais pas prier. Quelle est ma plus grande qualité ?

  • Houlà… Tu en as beaucoup.

  • Aaaah merci, tu commences bien ! Continue !

  • Tout d’abord, ton charme.

  • Aha ! Vas-y, développe.

  • Euh… Ok, mais ne crois pas que je te drague alors hein…

  • Je croirai ce que je voudrai. J’aime bien qu’on me drague moi !

Silence interloqué de ma part. La situation devenait tendancieuse… Isa était ma collègue de bureau, un fantasme parmi d’autres et jamais je n’aurais imaginé la draguer ouvertement.

  • Ben oui, c’est normal quoi… Les filles aiment qu’on les drague, c’est comme ça cher monsieur ! Donc, tu voulais me parler de mon charme ?

  • Effectivement… Comment dire…

  • Essaie avec des mots ?

  • Arrête, tu me déconcentres.

  • Concentre-toi alors. Parle-moi de mon charme, fit-elle avec son plus beau sourire.

  • Ok. Tu es magnifique, sûre de toi, bien dans ta peau, resplendissante, mignonne, rayonnante, bref, tu ne me laisses pas indifférent. Voilà, c’est dit.

  • Dis-doooonc ! dit-elle en faisant de grands yeux. Si ça c’est pas de la drague !

  • Ce n’en est pas. Tu es ma collègue et je n’ai jamais voulu te draguer.

  • Jamais voulu ou jamais osé ?

  • Jamais osé.

  • Dommage. Comme je te l’ai dit, j’aime bien me faire draguer !

  • Oh de toute façon ça doit t’arriver tellement souvent…

  • Ca ne change rien. J’ai bien remarqué que je ne te « laisse pas indifférent » comme tu dis. Je te connais mieux que tu ne le crois.

  • Ah bon ?

  • Bien sûr. Je sais quoi dire et quoi faire pour obtenir telle ou telle réaction de toi…

  • Tu crois ça ?

  • Je le crois pas, je le sais.

  • T’as un exemple ?

  • Ha ha ha ! Des tonnes ! La tenue que je porte aujourd’hui, le fait qu’on soit ici à cet instant, qu’on aie cette discussion…

  • Je ne te suis pas…

  • Mais si. Tu fais semblant de ne pas comprendre pour sauver la face, mais tu es sous l’emprise de mon charme tout-puissant mon cher ! Tu viens d’ailleurs de me l’avouer.

  • Tu veux dire que tout ça est calculé ?

  • Pas calculé, disons plutôt que je m’amuse un peu.

  • Tu t’amuses à quoi ?

  • A te regarder lutter pour ne pas me sauter dessus… A jouer avec tes petites faiblesses…

J’étais stupéfait de découvrir une Isa totalement différente de celle que je côtoyais chaque jour au bureau. J’avais l’impression de ne pas la connaître. Je la désirais maintenant au plus haut point.

  • Tu m’excuses si j’enlève mes chaussures ? Elles sont neuves et me font encore un peu mal, me dit-elle en se penchant légèrement sous la table.

  • Je t’en prie ! répondis-je complètement désintéressé.

Etait-ce un test ou à nouveau le hasard ? J’en avais souvent rêvé de ses petits petons. Savoir qu’ils étaient là sous la table, à ma portée mais hors de mon champ de vision, ça avait quelque chose de très frustrant. Est-ce qu’elle le savait ?

  • Ouf ! Je me sens mieux comme ça, dit-elle.

Nos plats arrivèrent. Elle n’arrêta pas de me décocher des sourires ravageurs durant tout le repas. Et moi je la regardais, me demandant quelle serait la suite de cette conversation. Pourquoi m’avait-elle entraîné sur ce terrain ? Qu’attendait-elle de moi ?

Chapitre XIV :

Alors que nous entamions notre repas, je faillis m’étrangler lorsque je sentis son pied caresser ma cheville à travers mon pantalon. Un frisson parcourut tout mon corps. Je mourrais d’envie de pouvoir admirer son pied enveloppé de nylon en train de titiller mes sens. Malheureusement, cette maudite table m’en empêchait et je ne pouvais m’en remettre qu’à mon imagination. Isa, quant à elle, ne disait pas un mot et avait le regard plongé dans son assiette, comme si de rien n’était.

  • Mais qu’est-ce que tu fais ? lui demandai-je, confus.

  • Ben… C’est plutôt évident non ? On dirait que je te fais du pied ! me répondit-elle en souriant. Tu n’aimes pas ça ?

  • Euh… Si, c’est pas le problème…

  • Eh ben alors, laisse-toi faire !

Son pied remontait progressivement le long de ma jambe, provoquant dans mon sexe des petits spasmes de désir que je ne pouvais exprimer. J’étais partagé entre le plaisir qu’Isa me procurait et la peur que son petit manège attire l’attention des autres clients du restaurant.

  • Ca va ? me demanda-t-elle.

  • Euh… Oui…

  • Si tu voyais ta tête… Ca ne te laisse pas indifférent on dirait !

  • Hum ! Est-ce que je dois vraiment répondre à ça…

  • Ah ah ah ! Non, tu ne dois pas répondre, je vais vérifier moi-même…

Et tout à coup, ce que je n’osais même pas redouter se produisit : elle posa son pied sur mon entrejambe. Elle mit quelques secondes à réaliser que quelque chose de bizarre s’y trouvait. Elle leva alors un regard surpris vers moi et posa ses couverts.

  • C’est quoi ça ? me demanda-t-elle.

J’étais tétanisé, complètement pris au dépourvu. Je ne répondis pas.

  • C’est ton portefeuille ? Ton téléphone ? Je suis au mauvais endroit ?

Elle malaxait mon entrejambe avec son pied, tentant de déterminer la forme de l’objet mystérieux.

  • Ah non, ça c’est pas un téléphone… Alors c’est quoi ?

Toujours aucune réponse de ma part.

  • C’est un genre de protection ? Un truc pour le sport ? Alleeeeez, dis-moi !!!

  • Non, je ne te le dirai pas.

  • M’enfin, pourquoi tant de mystère ? C’est bizarre ça !

  • J’ai pas trop envie d’en parler.

  • Bon, si tu le prends comme ça, aucun problème… Mais je pourrais très bien colporter des rumeurs aux gens que tu connais… Au bureau par exemple…

  • Quoi ? Tu ne ferais pas ça.

  • Tu me connais pas… Quand je veux quelque chose, je l’obtiens toujours !

Son regard était devenu malicieux.

  • Mais enfin, pourquoi tu tiens tellement à savoir ce que c’est ? lui demandai-je.

  • Mais enfin, pourquoi tu tiens tellement à me le cacher ? me répondit-elle.

Silence.

  • Et si je te promets de n’en parler à personne ? me dit-elle.

  • Si tu promets ?

  • Je promets. Et je n’ai qu’une parole, tu peux me faire confiance.

  • Euh…

  • Ca restera entre nous. Si tu veux, ça sera notre petit secret…

  • Ca me gêne vraiment de t’en parler.

  • Tu ne dois pas. Tu peux te confier à moi, je sais garder un secret.

Pour la première fois, je la regardai fixement, les yeux dans les yeux.

  • Tu promets que tu ne diras rien ?

  • Promis. Motus et bouche cousue.

  • Bon d’accord. J’ai l’impression de faire une grosse connerie, mais je vais quand même te le dire.

  • Ah enfin !

Et je lui expliquai alors comment la veille j’étais tombé dans un traquenard monté par trois étudiantes en psycho qui voulaient s’amuser un peu. Je n’arrivais pas à croire que je racontais ça à Isa, ma jeune et jolie collègue, objet de mes fantasmes.

Tandis que je lui relatais les faits, sans entrer dans les détails bien sûr, je voyais qu’elle marquait un réel intérêt à l’histoire. Elle n’avait pas du tout le regard moqueur que j’avais imaginé. Mais j’étais malgré tout aussi rouge que la nappe qui recouvrait la table.

Chapitre XVI :

  • Eh ben dis-donc… fit-elle en écarquillant les yeux lorsque j’eus terminé mon récit.

  • Comme tu dis.

  • Si tout ce que tu m’as raconté là est la vérité… Tu dois être dans un de ces états, mon pauvre…

  • C’est la pure vérité. Et je suis effectivement dans l’état que tu imagines.

Un petit moment de silence. Elle me regardait maintenant avec un air compatissant.

  • Et donc, ce truc là que je sens sous mon pied, c’est une espèce de coque en plastique qui t’empêche d’avoir une érection ?

  • On peut résumer ça comme ça, oui.

  • Mais mais mais... C’est intéressant ça, me dit-elle avec un petit sourire malicieux.

  • Qu’est-ce que tu veux dire ?

  • Ben… Je ne savais même pas que ça existait des trucs pareils. C'est génial, ça ouvre de nouvelles perspectives !

  • Quoi ?

  • C’est amusant non ? Regarde dans quel état tu es !

  • C’est peut-être amusant pour toi, mais pas pour moi.

  • Non c’est vrai, pour toi ce n’est pas amusant, je dirais plutôt que c’est excitant.

  • Qu’est-ce que tu en sais ?

  • Mais c’est logique voyons… Ca entretient ta frustration ! Tu as envie de te soulager, mais tu ne peux pas… Donc tu restes excité. Et c’est un cercle vicieux, tu es de plus en plus excité en fait. Pas vrai ?

  • Bon, c’est vrai, j’avoue, tu as raison.

  • Surtout quand une jolie brune te fait du pied, hein ?

Elle éclata de rire. Je baissai les yeux dans mon assiette et fis « oui » de la tête.

  • Allez, ne fais pas cette tête-là, me dit-elle. Tu finiras par l’avoir, ta délivrance !

  • Oui, je sais…

  • Dis, juste par curiosité, j’aimerais vraiment voir à quoi ressemble ce truc…

  • Hein ?

  • Ben oui, ce truc qu’elles t’ont mis là… Je n’en ai jamais vu.

  • Mais euuuh, tu veux que je te montre euuuuuh…

  • Oh ça va hein, ne fais pas le timide maintenant, après ce que tu viens de me raconter on est tout de même un peu plus complices, tu crois pas ?

  • Oui, mais entre te raconter quelque chose et te montrer mon sexe, il y a une différence.

  • Ah tiens… Tu te débines ?

  • J’ai juste pas envie de te montrer mon sexe.

  • Donc tout ce que tu m’as raconté, c’est des conneries ?

  • Comment ça ?

  • Toute ton histoire là… Le seul moyen de me prouver ta bonne foi, c’est de me montrer l’objet en question ! Là je te croirai.

  • Tu n’as qu’à pas me croire alors.

  • Aha ! Trop facile ça mon cher… Si tu refuses, des rumeurs pourraient bien se propager au bureau par exemple… J’en sais beaucoup sur toi maintenant, n’oublie pas…

  • Ok !!! dis-je, exaspéré. C’est bon, t’as gagné. Suis-moi aux toilettes et je te montrerai.

Son visage s’illumina comme celui d’un e n f a n t .

  • Chouette ! Mais pas ici, les toilettes ne sont pas propres. Et au bureau ça serait trop louche. Par contre, il y a le C&A juste un peu plus loin dans la rue, et il y a des tas de cabines d’essayage !

  • D’accord… Eh ben, tu sais ce que tu veux toi… Tu avais prévu le coup ou quoi ?

  • Hé hé non, mais je ne suis jamais à court d’idées !

Elle se baissa pour remettre ses chaussures. Je ne pus m’empêcher de me pencher légèrement pour la regarder boucler les fines lanières autour de ses chevilles. Sachant que je la regardais, elle prit soin d’effectuer l’opération très méticuleusement. Mon Dieu que cette fille m’excitait…

Je me levai et me dirigeai vers le comptoir pour régler l’addition.

  • Merci, alors c’était bon ? demanda l’employée du restaurant.

  • Oh, vous ne pouvez pas savoir ! répondit Isa avec son plus beau sourire.

A peine sortis, Isa me prit la main. Je sentis mon cœur battre plus fort. Sa peau était aussi douce que je l’imaginais. Je rêvais de pouvoir caresser chaque centimètre carré de son corps.

  • Allez, viens, me dit-elle.

Arrivés dans le magasin, elle prit un vêtement au hasard dans un rayon et nous entrâmes dans l’une des cabines libres. A peine eut-elle fermé la porte qu’elle posa un doigt sur ma bouche.

  • Chuuuut, me dit-elle. Pas de bruit. Laisse-moi faire.

  • Mais…

  • Chuuuuut ! Ne fais pas de bruit, sinon ça paraîtra suspect aux yeux des vendeuses.

Elle déboutonna mon jeans et le fit tomber à mes pieds. Elle s’agenouilla devant moi pour observer la chose de plus près. J’étais surexcité.

  • Ton caleçon est mouillé ! chuchota-t-elle.

  • Ca je sais, répondis-je embarrassé. J’y peux rien, je suis excité.

D’un coup sec, elle baissa mon caleçon. Mon sexe emprisonné était maintenant exposé devant elle. Elle eut un sourire amusé en observant la petite cage en plastique et les soubresauts d’excitation de mon sexe, qui ne demandait qu’à jouir.

  • Mais tu dégoulines ma parole ! Je vais éponger un peu tout ça, dit-elle.

Sans hésiter, elle approcha sa tête et enserra la petite cage dans sa bouche. Ma respiration se bloqua quelques secondes. J’eus beaucoup de mal à retenir un gémissement de plaisir, tant la chaleur de sa bouche et le contact de sa salive sur mon gland me firent du bien. Mais c’est malheureusement la seule stimulation à laquelle j’eus droit, car pour le reste, la cage de plexiglass remplissait parfaitement son rôle, me privant de toute sensation sur le sexe.

Isa me faisait une fellation qui semblait divine, mais qui ne me procurait aucune sensation. Par moment j’entendais ses dents mordiller le plexiglass, l’instant d’après un petit bruit de succion. Sa langue habile parcourait toute la surface de la petite cage, tandis qu’elle levait vers moi des yeux malicieux. C’était une véritable t o r t u r e de la voir sucer et lécher goulûment mon sexe, à la manière d’une actrice porno, sans pouvoir en profiter. J’aurais fait n’importe quoi pour ressentir ce qu’elle me faisait à cet instant précis.

Puis elle inséra sa langue dans le seul orifice de la cage, à l’extrémité, et titilla le bout de mon gland avec la pointe de sa langue. Je fermai les yeux et poussai un petit gémissement.

  • Chuuut ! dit-elle tout bas. Tu vas nous faire repérer !

  • J’y peux rien Isa, tu m’excites, j’ai envie de toi, j’ai envie de jouir comme un fou !

  • Ok, il vaudrait mieux que j’arrête.

  • Non ! Non non non ! N’arrête pas !

  • Si, c’est mieux pour toi, de toute façon je ne pourrais pas te faire jouir avec ce truc. Et puis je n’ai pas envie que tu déçoives tes trois amies ce soir ! dit-elle en me faisant un clin d’oeil.

  • Mais Isa… Tu…

  • Non, n’insiste pas. Par contre, pour te réconforter, j’ai moi aussi un petit secret à te montrer. Et je crois que ça va te plaire.

Chapitre XVII :

Elle releva sa jupe, descendit son collant jusqu’aux genoux et fit de même avec son string de dentelle noire. Je découvris son sexe, parfaitement épilé. Je pus aussi constater que son string était tâché d’auréoles blanches à l’entrejambe.

  • Tu as vu comme je mouille ? me dit-elle.

  • Oui… fis-je d’une voix tremblotante.

  • Tu veux savoir ce qui me met dans cet état ?

  • Oui…

  • Donne-moi ta main.

Elle saisit ma main et l’amena entre ses cuisses, où je sentis un petit fil qui remontait jusqu’à ses douces lèvres vaginales. Elle écarta les jambes.

  • Tire doucement sur le fil, me dit-elle.

Je ne me fis pas prier. A mesure que je tirais sur le fil, je voyais sa respiration devenir plus forte. Elle ferma les yeux, bascula la tête en arrière et poussa un petit cri étouffé, alors que je sortais de son vagin une boule de geisha.

  • Il en reste une, dit-elle en haletant.

Je n’en croyais pas mes yeux. Je sortis la deuxième boule, tout aussi lentement, ce qui lui procurait manifestement beaucoup de plaisir. Je me retrouvai alors avec les deux boules pendant au bout de mon doigt, imbibées du nectar intime de la belle Isa.

  • Oh putain, c’est bon… fit-elle en se redressant. Tu comprends maintenant pourquoi je mouille autant ?

  • Oh oui…

  • Tu vas les nettoyer pour moi maintenant ?

  • Quoi ?

  • Les boules de geisha… Tu vas les lécher comme je l’ai fait pour toi tout à l’heure.

Ce n’était pas une proposition mais plutôt un ordre. Après un instant d’hésitation, je gobai complètement une des boules et commençai à en goûter le précieux fluide. C’était comme si je plongeais la langue dans ce qu’Isa a de plus intime. Je n’en pouvais plus, c’était trop bon. Mon sexe était prêt à exploser.

  • Quelle invention géniale, dit elle. Si tu savais les sensations que ça procure… J’en mets souvent tu sais. Ca m’arrive parfois d’avoir des orgasmes spontanés, en rue ou en voiture par exemple… Et même au bureau. Le plus dur c’est de ne pas le montrer.

  • Mmmmh… fis-je tout en léchant la deuxième boule.

Elle était maintenant assise sur le banc de la cabine, jambes écartées face au miroir et se caressait. Mon sexe était secoué par des contractions de désir.

  • Ca t’excite de goûter mon nectar hein ?

  • Mmmmh !!!

  • Tu vois, je t’avais bien dit que ça allait te plaire. Moi ça m’excite de te voir te délecter comme ça… Continue à bien les lécher…

Je la regardais se masturber. J’avais envie d’elle comme jamais.

  • Elles ont l’air propres maintenant. Tu peux me les remettre, me dit-elle.

Je m’approchai de son sexe grand ouvert et y introduisis délicatement la première boule, qui rentra sans opposer la moindre résistance. Isa haletait de plus en plus. La deuxième boule insérée, elle laissa échapper un petit gémissement.

  • Enlève-les et recommence ! me dit-elle.

Je sortis lentement les deux boules avant de les réintroduire en elle. Elle soupirait et se caressait le clitoris de plus en plus fort.

  • Encore ! fit-elle.

Je m’exécutai une deuxième fois, puis une troisième. A la quatrième fois, elle me repoussa v i o l emment et resserra les jambes. La tête en arrière, les yeux fermés et la bouche ouverte, tous les muscles de son corps semblèrent se contracter. Mais elle réussit à garder le silence, et seul son souffle court et rapide traduisait la f o r c e de son orgasme.

Après quelques instants de silence, elle se ressaisit. Elle se releva, remonta son string, son collant et ajusta impeccablement sa jupe devant le miroir. A la voir comme ça, il était impossible de deviner ce qui venait de se produire.

  • Ben dépêche-toi, ça doit faire environ 20 minutes qu’on est dans cette cabine… On doit retourner bosser en plus !

  • Euh… Oui, laisse-moi le temps de réaliser ce qui vient de se passer…

  • Viens, tu réaliseras plus tard ! Et puis ça te fera un truc à raconter à tes copines ce soir !

  • Isa, t’es vraiment cruelle.

Elle éclata de rire.

Nous sortîmes de la cabine le plus discrètement possible, en espérant que personne n’ait remarqué notre petit jeu. Personne à l’horizon, si ce n’est une jeune vendeuse qui vint vers nous avec un petit sourire.

  • Ca va, tout s’est bien passé ? demanda-t-elle.

Je trouvai cette question étrange, en replaçant les événements dans leur contexte…

  • Oui, lui répondit Isa, l’air de rien. Mais finalement je ne la prends pas.

  • Quoi ça ? fit la vendeuse.

  • Euh… Cette jupe, fit Isa en désignant l’article qu’elle avait en main.

  • Ca Mademoiselle, ce n’est pas une jupe, c’est un cardigan, rétorqua la vendeuse en riant.

  • Ah, tu vois Isa, je t’avais bien dit que ça ne se portait pas comme ça ! plaisantai-je.

Eclat de rire général. La charmante vendeuse avait manifestement très bien compris ce que nous faisions dans la cabine.

  • Bon ben je crois qu’on devrait y aller maintenant, dit Isa.

  • Parfait, vous pouvez me laisser le cardigan alors, fit la vendeuse en faisant un clin d’oeil. Je vais le remettre en rayon. A bientôt peut-être ?

Cette dernière phrase, appuyée par un sourire coquin, semblait être à double sens.

  • Certainement, répondis-je. Merci pour votre aide Mademoiselle.

  • Clara, fit-elle en ouvrant un peu son décolleté pour me présenter son badge.

  • Bien, euh merci Clara... A bientôt alors.

En nous dirigeant vers la sortie du magasin, Isa et moi tentions de nous retenir de rire. Arrivés dehors, nous fûmes pris d’un fou rire.

  • Eh bien en voilà une qui n’a pas froid aux yeux, dit Isa.

  • Tu parles !

  • Tu crois qu’il y a des caméras de surveillance dans les cabines ? me demanda-t-elle.

  • J’en sais rien, mais de toute façon elle n’en aurait pas eu besoin… Elle a tout compris !

  • Oui, et j’ai la vague impression que ça ne la dérangerait pas qu’on remette ça…

  • Je crois aussi… Pour moi c’est quand tu veux hein, tu m’as laissé sur ma faim là…

  • Hé hé, qui sait ce que l’avenir nous réserve !

Nous rentrâmes au bureau comme tous les jours, juste un peu plus en retard que d’habitude. Ni elle ni moi ne fîmes la moindre allusion aux événements de ce midi. Mais il me fut impossible de me concentrer sur mon boulot le reste de la journée. Quand je ne pensais pas à Isa, je pensais aux trois divines garces que j’allais revoir ce soir, et à la délivrance tant attendue.

L’après-midi passa vite, très vite. Au fil des heures, l’attente devenait stressante, presque angoissante. J’imaginais mille scénarios, n’ayant aucune idée du sort qu’elles me réservaient.

Chapitre XVIII :

Au moment où je m’apprêtais à quitter le bureau, Isa s’approcha de moi avec un petit rictus malicieux.

  • Tu me raconteras hein ! me dit-elle avec un clin d’œil.

  • Euh oui… On verra, répondis-je.

Elle tourna les talons et m’offrit une dernière vue sur sa magnifique silhouette tandis qu’elle se dirigeait vers la sortie. Les souvenirs de ce midi me revinrent comme un coup de fouet dans l’entrejambe. Qu’est-ce que j’avais envie d’elle…

Arrivé chez moi, la seule chose à laquelle je pensais était me soulager. Cela virait maintenant à l’obsession. J’imaginais que je pourrais peut-être y arriver par la seule f o r c e de ma pensée, mais très vite je revins à la raison. Plus que quelques heures à attendre, elles me l’avaient promis. Entretemps, une douche ne me ferait en tout cas pas de mal.

Et effectivement, cette douche ne me fit pas de mal. Au contraire même, la sensation du jet d’eau sur ma peau me semblait divine. Tout mon corps était devenu particulièrement réceptif à la stimulation. Mais à mon grand regret, malgré toutes mes tentatives, je ne pus soulager la tension accumulée dans mon sexe. J’étais à nouveau gonflé à bloc, en état de manque sexuel, prêt à tout pour pouvoir enfin obtenir cette délivrance tant attendue.

A cet aspect purement physiologique s’ajoutait le côté psychologique de la situation. Ma frustration me faisait me sentir tellement dépendant de ces trois filles que j’en arrivais à leur conférer un pouvoir presque magique sur moi. Je pensais à elles sans arrêt, j’essayais d’imaginer le dénouement qu’elles me réservaient, d’anticiper leurs actes et leurs réactions. Je me demandais ce qu’elles ressentaient en me faisant endurer ces divins tourments. J’adorais ça, elles le savaient et s’en amusaient avec une délectation évidente.

Mais alors que j’étais perdu dans mes pensées sans voir le temps défiler, l’horloge me rappela qu’il était l’heure de partir. Je quittai mon appartement stressé, comme pour me rendre à un examen.

Arrivé un peu en avance sur l’heure fixée, je déambulai dans le couloir quelques minutes avant de finalement me décider à sonner. Mon cœur battait à cent à l’heure. C’est Sarah, plus sexy que jamais, qui vint m’ouvrir la porte. Elle portait un chemisier blanc sous un pull à col V gris assez décolleté, une petite jupe gris anthracite très courte, des chaussettes hautes noires opaques qui lui arrivaient juste au-dessus des genoux et des chaussures vernies avec une petite bride. Le parfait fantasme de la jeune étudiante faussement sage.

  • Héééé mais qui voilà ! dit-elle.

  • Salut Sarah, répondis-je en essayant de reprendre mes esprits.

  • Alors comme ça tu as décidé de revenir ? Tu as fait le bon choix. Entre !

Au moment où je franchis le pas de la porte, je m’approchai d’elle pour lui faire la bise. Mais elle eut un mouvement de recul.

  • Eh oh, qu’est-ce que tu fais ?

  • Ben euh… Je voulais simplement te faire la bise !

  • Ha ha ha ! Me faire la bise… Sur la joue ? Tu as déjà oublié pourquoi tu es là ? Si tu veux me faire la bise, tu vas le faire sur mes jolis petits orteils !

Je ne m’attendais pas vraiment à ça dès mon arrivée, mais d’emblée le ton était donné.

  • Alors, comment tu me trouves dans cette tenue ? Ca te plaît ? me demanda-t-elle en levant légèrement sa jambe gauche pour me présenter son pied.

  • Et comment ! Tu es magnifique, répondis-je.

Je m’agenouillai donc devant elle et fis délicatement glisser sa chaussure pour en sortir son pied tout chaud. Immédiatement, la vue de ses petits orteils parfaitement « french-pédicurés » gainés de nylon et les effluves de cuir qui s’en dégageaient déclenchèrent une série de contractions dans mon entrejambe. Je saisis son pied, mais elle le reposa par terre.

  • Enlève tes mains. Je t’ai juste demandé de les embrasser.

  • Oui mais je voulais juste…

  • Chuuuuuut, fit-elle en m’interrompant.

Je me penchai donc pour approcher ma bouche de ses pieds et inspirai profondément avant de lui embrasser doucement chaque orteil, un par un.

  • Dépêche-toi, me dit-elle en me coupant dans mon élan. Je te signale que j’ai deux pieds, ça fait dix orteils, et on n’a pas que ça à faire.

Je recommençai donc l’opération avec son pied droit, mais en y mettant un peu moins de manières.

  • C’est très bien. Relève-toi. Alors dis-moi, comment tu te sens 24 heures plus tard ? Ce n’est pas trop dur ?

  • Pas trop dur… Ben non f o r c é ment, ça ne peut pas être dur avec ce truc que vous m’avez mis entre les jambes…

  • C’était le but. Ca a donc bien eu l’effet escompté, tu n’as pas pu te soulager ?

  • Non.

  • Parfait. Tu dois être dans un de ces états toi maintenant !

  • Je ne te le fais pas dire. Retire-moi ce machin, je n’en peux plus !

  • Tss tss tss, chaque chose en son temps… Commence par te déshabiller.

  • Me déshabiller ? Complètement ?

  • Complètement.

  • Ici, au beau milieu du salon ?

  • Ne discute pas… Enlève-moi tous ces vêtements !

Au moment où j’enlevais ma chemise, Chloé entra dans la pièce, vêtue d’un costume de geisha. Elle était si bien habillée et maquillée que je mis quelques instants à la reconnaître. Elle portait une magnifique robe rouge à motifs japonais, les cheveux attachés en chignon retenus par deux baguettes en bois. Elle était pieds nus et portait des bas transparents, sans la moindre couture, qui donnaient un effet brillant à ses jambes et ses pieds.

  • Bonjour Chloé, tu es superbe ! lui dis-je.

  • Bonjour Damien, merci beaucoup, me répondit-elle avec un petit salut à la japonaise. Je suis contente que tu aies décidé de revenir aujourd’hui.

C’est alors que Julie fit son apparition, dans une tenue d’infirmière. Elle portait une blouse blanche assez décolletée laissant entrevoir juste un petit bout de la dentelle de son soutien-gorge, blanc lui aussi. Sa jupe n’était pas aussi courte que celles des infirmières des films X, mais elle était tout de même au-dessus du genou. Et évidemment, des bas blancs de circonstance pour cette tenue, avec des chaussures blanches plates.

  • Waow Julie… Euh bonjour… J’ai raté quelque chose ? Pourquoi êtes-vous toutes habillées comme ça ?

  • Salut Damien. Qu’est-ce qu’il y a, nos tenues ne te plaisent pas ?

  • Oh si ! Vous êtes de véritables fantasmes ambulants ! Je me demande juste ce qui se passe, car on ne m’a rien expliqué.

  • Ha ha ! Ne t’inquiète pas, tu comprendras le moment venu. Il me semble que Sarah t’a demandé de te déshabiller, non ?

  • Euh oui…

  • Alors vas-y, dépêche-toi et ne pose pas de question.

Pour la deuxième fois, on me demandait de me dépêcher… Ca piquait ma curiosité. Pourquoi étaient-elles aussi pressées ? Je regardai autour de moi à la recherche d’indices qui pourraient me faire deviner ce qui m’attendait, mais rien. Tout était exactement comme la veille.

Je terminai de me déshabiller, prenant soin de garder mon caleçon.

  • Complètement, j’ai dit… Enlève ça, tu n’en auras pas besoin ce soir ! me dit Sarah.

Je baissai donc mon caleçon, révélant mon pauvre sexe emprisonné dans sa petite cage. Sarah ramassa tous mes vêtements et les emporta dans la pièce d’à-côté. Elle revint quelques instants plus tard avec une espèce de gilet blanc qu’elle brandit devant moi.

  • Tends les bras en avant et passe-les là-dedans, me dit-elle.

Je découvris avec surprise qu’il s’agissait en fait d’une camisole de f o r c e .

  • Mais pourquoi ?

  • Parce qu’on veut être certaines que tu te tiendras tranquille et que tu n’auras pas les mains baladeuses… Et puis ça fait moins mal que les menottes ! Fais-nous confiance.

Après un instant d’hésitation, je tendis les deux bras vers l’avant. Sarah m’enfila la camisole, ramena mes bras le long du ventre et attacha les liens dans mon dos.

Comme la veille, j’étais à nouveau privé de l’usage de mes mains, me rendant totalement dépendant de mes délicieuses t o r t i o n n a i r e s.

  • Voilà ! fit Sarah, triomphante. Tu es à notre merci maintenant ! Ca va, tu n’as pas mal ?

  • Non, ça va, fis-je en tentant vainement de bouger les bras.

  • C’est parfait alors.

Chloé et Julie, qui semblaient très occupée depuis mon arrivée, revinrent dans le salon.

  • Tout est prêt ? demanda Julie.

  • De mon côté, c’est bon, répondit Sarah. Notre cher Damien est prêt.

  • Impeccable. Elles ne devraient plus tarder maintenant.

Chapitre XIX :

Chloé et Julie, qui semblaient très occupée depuis mon arrivée, revinrent dans le salon.

  • Tout est prêt ? demanda Julie.

  • De mon côté, c’est bon, répondit Sarah. Notre cher Damien est prêt.

  • Impeccable. Elles ne devraient plus tarder maintenant.

Cette dernière phrase me fit froid dans le dos.

  • Comment ça « elles » ? Qui va venir ? demandai-je avec inquiétude.

  • On fera les présentations quand tout le monde sera là, me répondit Sarah.

  • Tout le monde ? Il y a donc plusieurs personnes ?

Je venais de comprendre que ce « elles » était au pluriel. Le stress montait de plus en plus et je ne pouvais rien faire pour me calmer.

  • Ah ah ah ! Ca t’excite ça, hein ! fit Julie. Détends-toi, tu vas passer un bon moment, on est là pour ça.

  • Mais vous allez enfin me débarrasser de ce truc ?

  • Chuuuuut ! dit-elle en posant sa main sur ma bouche. Arrête de poser autant de questions et laisse-toi faire.

Elle m’emmena vers le fond du salon, où trônait un grand meuble sur lequel était posée la télé. De part et d’autre de ce meuble, deux grands placards à miroir. Elle ouvrit celui qui se trouvait juste devant la table du salon. A l’intérieur du placard, juste une chaise.

  • Assieds-toi là-dedans, me dit-elle.

  • Quoi, là, dans le placard ? demandai-je, comprenant de moins en moins ce qui se tramait.

  • Arrête de poser autant de questions. Rentre là-dedans et assieds-toi sur la chaise, un point c’est tout.

Sans comprendre pourquoi, je m’installai malgré tout sur la chaise et Sarah referma la porte. Assis à l’intérieur, je vis que l’armoire n’avait pas de plafond et que la porte était en fait un miroir sans teint. Dans ce placard, je pouvais donc voir et entendre distinctement tout ce qui se passait dans le salon.

  • A travers ce miroir, toi tu nous vois, mais nous ne pouvons pas te voir, m’expliqua-t-elle. Maintenant je vais t’expliquer ce qui va se passer. Tu as beaucoup de chance, tu sais… Tu vas avoir un privilège que normalement aucun mec ne peut obtenir.

Je buvais ses paroles, incrédule.

  • De temps en temps, on organise des soirées avec quelques copines, des filles aussi déjantées que nous, sur le thème du sexe, du glamour et tout ce qui s’y rapporte. On s’habille sexy, on s’échange des conseils, on discute des mecs, de sex-toys, de positions, on se fait des petits défilés de lingerie… La prochaine, c’est dans 10 minutes. Et devine quoi ? Tu vas avoir l’honneur d’y assister.

Je réalisais à peine ce qu’elle venait de me dire. Je comprenais maintenant la raison de leurs tenues. Mais malgré le peu d’intimité que j’avais retrouvée depuis que j’étais dans mon placard, derrière ce miroir sans teint à l’abri de tout regard, je stressais encore plus à l’idée de ce que Sarah venait de me décrire.

  • Alors je préfère te prévenir tout de suite, continua-t-elle, ça risque de t’exciter pas mal, surtout dans l’état où tu es. Mais quoi qu’il se passe, il y a une règle que tu dois respecter absolument.

  • Laquelle ? demandai-je d’une voix tremblante.

  • Si tu es là-dedans, ce n’est pas pour rien. Ce sont des soirées entre filles, c’est interdit aux mecs. Tu n’es pas censé être ici. Durant toute la soirée, tu ne dois donc faire aucun bruit. Aucun soupir, aucun mouvement, aucun craquement, aucune respiration trop forte, rien. Si jamais tu te faisais découvrir, je te promets que tu le regretterais, et tu peux me faire confiance sur ce point. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ?

  • Euh… Oui, balbutiai-je.

  • Par contre, si tu te tiens tranquille, tu auras une récompense qui devrait te faire plaisir… Si tu vois ce que je veux dire.

J’étais tétanisé. J’essayais d’imaginer la scène.

  • Bon, nous on va boire un petit verre entre amies, mais comme toi tu ne pourras pas boire avec nous, je t’ai amené ton verre avant tout le monde. C’est un cocktail que Julie a préparé pour ce soir, je te conseille d’y goûter, c’est délicieux !

Elle approcha de ma bouche un verre rempli d’une boisson rouge-orangée, dans lequel était plongée une paille. L’odeur de fruits frais qui s’en dégageait était vraiment alléchante. Impression confirmée à la première gorgée, même si l’alcool me fit froncer les sourcils. Je reconnus aussi le côté piquant du gingembre.

  • Houlà, c’est bon mais c’est fort ! Qu’est-ce qu’elle a mis là-dedans ?

  • Que des bonnes choses. Bois vite avant qu’elles arrivent, il te reste peu de temps.

Je repris la paille en bouche et aspirai une deuxième gorgée, puis une troisième.

  • Allez, vide-moi ce verre, montre que tu es un homme, me dit-elle avec un clin d’oeil.

Je vidai donc le reste d’une traite. A cet instant, la sonnette de la porte d’entrée retentit.

  • Eh bien voilà ! Tout juste ! Pas mauvais hein ? Maintenant tu te fais oublier et tout ira bien. Passe une bonne soirée…

Elle s’éloigna du placard et partit ouvrir la porte d’entrée. Sous l’effet de ce cocktail et du stress, ma tête commençait à tourner et mon cœur semblait vouloir sortir de ma poitrine.

Je tremblais presque en entendant les quelques chuchotements et éclats de rires qui accompagnaient l’entrée des invitées. Je pouvais juste reconnaître des « oooh ! » et des « ouaaah ! » d’admiration, très probablement provoqués par les tenues de mes trois superbes tentatrices.

Je vis alors trois autres jeunes filles faire irruption au salon. Je tentai de me rassurer quelque peu en me confortant dans l’idée qu’elles ne pouvaient pas me voir.

Curieusement, elles n’étaient pas déguisées comme leurs hôtes, ni même habillées de manière particulièrement sexy. Seule l’une d’elles portait une jupe, que je remarquai évidemment tout de suite. C’était une petite blondinette avec une queue de cheval. Son chemisier blanc sur sa jupe grise était lui donnait un côté BCBG, sans être strict. Sa jupe était en biseau, avec un côté descendant plus bas que l’autre. Elle portait un collant noir basique et des escarpins un peu pointus avec un petit talon.

Les deux autres me firent moins d’effet. Jolies toutes les deux, mais le genre de filles qu’on croise partout en rue sans les remarquer. Elles étaient brunes et portaient toutes deux un pantalon style tailleur avec un top tout simple. L’une portait des talons, l’autre des ballerines. La dernière portait un sac de courses bien fermé et était attentive à ne pas en laisser entrevoir le contenu.

  • Allez les filles, faites comme chez vous, installez-vous au salon, on arrive avec les cocktails ! cria Sarah.

Les trois invitées connaissaient manifestement bien les lieux, elles semblaient très à l’aise. Elles se vautrèrent dans le canapé et marmonnèrent des choses que je ne pouvais pas entendre. Je compris juste qu’elles parlaient du gros sac qu’elles avaient amené. Elles semblaient impatientes de l’ouvrir.

  • Tadaaaaa !!! s’écria Julie, en rentrant dans le salon. Elle portait un plateau avec des verres et une carafe remplie d’une boisson.

  • Hmmm ! Jolie couleur, ton cocktail, dit l’une des deux brunes. Mais c’est quoi ?

  • Ah haaa ! Surprise de l’infirmière en chef. Mais vous allez voir, c’est délicieux ! Et puis, j’y ai mis ma petite touche personnelle !

  • Tiens donc… Ta « touche personnelle » ! Mais encore ?

  • Je vous expliquerai après, répondit Julie en remplissant six verres.

  • Bon ben tant que ça ne goûte pas le médicament… fit la petite blonde.

Eclats de rire.

  • Allez hop, on trinque, j’ai soif moi ! dit Sarah.

Les six jeunes filles prirent chacune leur verre.

  • Hooo… C’est super bon ! T’as mis quoi dedans ?

  • Houlà, il y a du gingembre là-dedans, pas vrai ?

  • Et de la vodka !

  • Du jus d’orange aussi ?

Chacune y allait de sa proposition.

  • Effectivement, il y a un peu de tout ça… Sauf le gingembre, il y en a beaucoup ! dit Julie en riant. Et encore plein d’autres ingrédients. En fait c’est un cocktail très aphrodisiaque… Recette secrète, améliorée par mes soins !

  • Houuuuuuu ! firent-elles d’une seule voix.

  • Les filles, vous n’allez plus vous sentir ce soir ! La soirée s’annonce torride !

A voir leurs mines réjouies, ça semblait leur convenir…

Ma tête tournait de plus en plus, ce qui accentuait encore plus le côté surréaliste de la situation dans laquelle je me trouvais. J’avais chaud, mais je me sentais un peu moins stressé.

Quelques minutes s’écoulèrent alors qu’elles se racontaient les dernières péripéties de leurs vies. C’est ainsi que j’appris que la petite blonde s’appelait Caroline, et les deux brunes, Sophie et Valérie. Heureusement dans la conversation, ni Sarah, ni Julie ni Chloé ne fit allusion à moi ou à ma rencontre.

L’ambiance, déjà bon e n f a n t au début, commençait déjà à devenir franchement relax. Elles riaient fort, l’alcool semblait faire son effet. Et pas que sur elles… A mesure que je me détendais, je sentais mon sexe lutter de plus en plus pour sortir de sa petite cage de plexiglass. Je me demandais ce que Sarah avait voulu dire en parlant de punition si je me faisais remarquer. Et à l’inverse, j’espérais de toutes mes f o r c e s que si je me tenais tranquille, j’obtiendrais enfin la délivrance tant attendue. Bref, à mesure que j’échafaudais des scénarios tout en observant les six belles demoiselles, je sentais le désir monter en moi. Aucun doute, le cocktail était bien aphrodisiaque…

Fin de l'histoire par abandon de l'auteur !!! Quel dommage

fffm

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Super histoire merci
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